Название | Das Passagen-Werk |
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Автор произведения | Walter Benjamin |
Жанр | Документальная литература |
Серия | |
Издательство | Документальная литература |
Год выпуска | 0 |
isbn | 9788026829706 |
Schluß von Lurines Artikel »Les boulevards«: »Les boulevarts mourront d’un anévrisme: l’explosion du gaz.« Paris chez soi Paris 〈1854〉 [Sammelwerk, das bei Paul Boizard erschien] p 62 [C 7, 2]
Baudelaire am 8 Januar 1860 an Poulet-Malassis über Meryon: »Dans une de ses grandes planches, il a substitué à un petit ballon une nuée d’oiseaux de proie, et comme je lui faisais remarquer qu’il était invraisemblable de mettre tant d’aigles dans un ciel parisien, il m’a répondu que cela n’était pas dénué de fondement, puisque ces gens-là (le gouvernement de l’empereur) avaient souvent lâché des aigles pour étudier les présages suivant le rite, – et que cela avait été imprimé dans les journaux, même dans le Moniteur.« cit Gustave Geffroy: Charles Meryon Paris 1926 p 126/127 [C 7, 3]
Zum Triumphbogen: »Der Triumph war eine Institution des römischen Staates und hatte zur Voraussetzung den Besitz des feldherrlichen Rechtes, des militärischen Imperium, das andererseits mit dem Tage der Vollziehung des Triumphes erlosch … Von den mancherlei Vorbedingungen, an die das Recht des Triumphes geknüpft war, war die dringendste die, daß die Grenzzone des Stadtgebietes … nicht vorzeitig überschritten wurde. Andernfalls wäre der Feldherr der Rechte der Kriegsauspicien, die nur für die Kriegshandlung draußen galten, und mit ihnen des Anrechtes auf den Triumph verlustig gegangen … Jede Befleckung, alle Schuld des mordenden Krieges – ob ursprünglich einmal auch die Gefahr, die von den Geistern der Erschlagenen drohte? – ist von Feldherrn und Heer genommen, bleibt … draußen vor dem heiligen Tore zurück … Aus solcher Auffassung erhellt …, daß die porta triumphalis nichts weniger als ein Monument zur Verherrlichung des Triumphes gewesen ist.« Ferdinand Noack: Triumph und Triumphbogen (Vorträge der Bibliothek Warburg V) Lpz 1928 p 150/151, 154) [C 7, 4]
»Edgar Poë a fait passer à travers les rues des capitales le personnage qu’il désigne comme l’Homme des foules. Le graveur inquiet et chercheur est l’Homme des pierres … Voici … un … artiste, qui n’a pas songé et travaillé comme Piranesi, devant les restes de la vie abolie, et dont l’œuvre donne une sensation de nostalgie persistante … C’est Charles Meryon. Son œuvre de graveur est un des poèmes les plus profonds qui aient été écrits sur une ville, et l’originalité singulière de ces pages pénétrantes, c’est qu’elles aient eu immédiatement, quoique directement tracées d’après des aspects vivants, une apparence de vie révolue, qui est morte, ou qui va mourir … Ce sentiment existe indépendamment des reproductions les plus scrupuleuses, les plus réelles, des sujets qui avaient arrêté le choix de l’artiste. Il y avait en lui du voyant, et il devinait sans doute que ces formes si rigides étaient éphémères, que ces curieuses beautés s’en iraient où tout s’en va, il écoutait le langage que parlent les rues et les ruelles sans cesse bousculées, détruites, refaites, depuis les premiers jours de la cité, et c’est pourquoi sa poésie évocatrice rejoint le Moyen-Age à travers la ville du XIXe siècle, dégage la mélancolie de toujours à travers la vision des apparences immédiates.
Le vieux Paris n’est plus. La forme d’une ville
Change plus vite, hélas! que le cœur d’un mortel.
Ces deux vers de Baudelaire pourraient être mis en épigraphe au recueil des œuvres de Meryon.« Gustave Geffroy: Charles Meryon Paris 1926 p 1-3 [C 7 a, 1]
»Die alte porta triumphalis sich schon als Bogentor vorzustellen, liegt keine Nötigung vor. Im Gegenteil wird sie, da sie nur einem symbolischen Akte diente, ursprünglich mit den einfachsten Mitteln errichtet worden sein, also zwei Pfosten mit horizontalem Sturz.« Ferdinand Noack: Triumph und Triumphbogen (Vorträge der Bibliothek Warburg V Lpz 1928 p 168) [C 7 a, 2]
Der Durchmarsch durch den Triumphbogen als rite de passage: »Der Durchmarsch der sich im engen Torwege drängenden Heeresmassen ist verglichen worden mit dem ›Hindurchdrängen durch einen engen Spalt‹, dem man die Bedeutung einer Wiedergeburt zugemessen habe.« Ferdinand Noack: Triumph und Triumphbogen (Vorträge der Bibliothek Warburg V Lpz 1928 p 153) [C 7 a, 3]
Die Phantasien vom Untergang von Paris sind ein Symptom davon, daß die Technik nicht rezipiert wurde. Aus ihnen spricht das dumpfe Bewußtsein, daß mit den großen Städten die Mittel heranwuchsen, sie dem Erdboden gleichzumachen. [C 7 a, 4]
Noack erwähnt »daß der Scipiobogen nicht über der Straße, sondern gegenüber – adversus viam, qua in Capitolium ascenditur – stand … Der rein-monumentale Charakter dieser Bauten, ohne praktische Nebenbedeutung, ist damit bestimmt.« Andererseits spricht der kultische Sinn dieser Bauten ebenso vernehmlich wie aus ihrer Isolierung aus ihrer gelegentlichen Einordnung: »Auch da, wo viele … spätere Bogen stehen, an Straßenanfang und Ende, an und auf Brücken, am Eingange der Fora, an der Stadtgrenze … ist für den … Römer überall ein sakral gefaßter Begriff, wie Grenze oder Schwelle, wirksam gewesen.« Ferdinand Noack: Triumph und Triumphbogen (Vorträge der Bibliothek Warburg V Lpz 1928 p 162 u 169) [C 8, 1]
Über das Fahrrad: »Il ne faut pas, en effet, se tromper sur la portée réelle de la nouvelle monture à la mode qu’un poète appelait, ces jours derniers, le cheval de l’Apocalypse.« L’illustration 12 juin 1869 cit Vendredi 9 octobre 1936 (Louis Chéronnet: Le coin des Vieux) [C 8, 2]
Über den Brand, der das Hippodrom vernichtete: »Les commères du quartier voient dans ce sinistre la colère du Ciel punissant le spectacle coupable des vélocipédeuses.« Le Gaulois 2 (?3?) octobre 1869 cit Vendredi 9 octobre 1936 (Louis Chéronnet: Le coin des Vieux) Im Hippodrom wurden Damenwettfahrten zu Rad veranstaltet. [C 8, 3]
Caillois will zum Verständnis der »Mystères de Paris« und ähnlicher Werke den roman noir, zumal die »Mystères du Chateau d’Udolphe« heranziehen, besonders wegen der »importance prépondérante des caves et des souterrains«. Roger Caillois: Paris, mythe moderne (N〈ouvelle〉 R〈evue〉 F〈rançaise〉 XXV, 284 1 mai 1937 p 686) [C 8, 4]
»Toute la rive gauche, depuis la Tour de Nesle … jusqu’à la Tombe Issoire … n’est qu’une trappe du haut en bas. Et si les démolitions modernes révèlent les mystères du dessus de Paris, un jour peut-être les habitants de la rive gauche se réveilleront effrayés en découvrant les mystères du dessous.« Alexandre Dumas: Les Mohicans de Paris III Paris 1863 [C 8, 5]
»Cette intelligence de Blanqui, … cette tactique de silence, cette politique de catacombes, devaient parfois faire hésiter Barbès comme devant … les escaliers soudain béants et plongeant aux caves, d’une maison mal connue.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1926 I p 72 [C 8, 6]
Messac zitiert (〈Le »Detective Novel« et l’influence de la pensée scientifique, Paris 1929〉 p 419) aus Vidocq: Mémoires XLV: »Paris est un point sur le globe, mais ce point est un cloaque; à ce point aboutissent tous les égoûts.« [C 8 a, 1]
Le Panorama Revue critique et littéraire Paraissant tous les cinq jours in I, 3, seiner letzten Nummer vom 25 février 1840 unter der Rubrik »Questions difficiles à résoudre«: »L’univers finit-il demain? sa durée éternelle doit-elle voir la ruine de notre planète? ou cette dernière qui a l’honneur de nous porter survivra-t-elle au reste des mondes?« Sehr bezeichnend, daß so in einer Revue geschrieben werden konnte. (Übrigens gesteht man im ersten Heft A nos lecteurs, daß man das Panorama gegründet hat, um Geld zu verdienen.) Begründer war der Vaudevillist Hippolyte Lucas. [C 8 a, 2]
»Sainte qui rameniez tous les soirs au bercail
Le troupeau tout