Название | Das Passagen-Werk |
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Автор произведения | Walter Benjamin |
Жанр | Документальная литература |
Серия | |
Издательство | Документальная литература |
Год выпуска | 0 |
isbn | 9788026829706 |
François de Neufchateau über die Ausstellung von 1798 (nach Démy: Essai historique sur les expositions universelles)〈.〉 »Les Français, disait-il …, ont étonné l’Europe par la rapidité de leurs succès guerriers; ils doivent s’élancer avec la même ardeur dans la carrière du commerce et des arts de la paix.« (p 14) »Cette première exposition … est réellement une première campagne, une campagne désastreuse pour l’industrie anglaise.« (p 18). – Eröffnungsfestzug von kriegerischem Charakter: »1° l’école des trompettes; 2° un détachement de cavalerie; 3° les deux premiers pelotons d’appariteurs; 4° des tambours; 5° musique militaire à pied; 6° un peloton d’infanterie;7° les hérauts; 8° le régulateur de la fête; 9° les artistes inscrits pour l’exposition; 10° le jury.« (p 15) – Die goldene Medaille behält Neufchateau dem vor, der die englische Industrie am meisten schädigt. [G 9 a, 1]
Die zweite Ausstellung, im Jahre IX〈,〉 sollte die Werke der Industrie und der bildenden Kunst im Hof des Louvre vereinigen. Aber die Künstler lehnten die Zumutung ab, gemeinschaftlich mit Industriellen auszustellen. (Démy p 19) [G 9 a, 2]
Ausstellung von 1819〈.〉 »Le roi à l’occasion de l’exposition conféra à Ternaux et à Oberkampf le titre de baron … L’octroi de titres nobiliaires à des industriels avait provoqué des critiques. En 1823 on s’abstint de toute collation de noblesse.« Démy: Essai historique p 24 [G 9 a, 3]
Ausstellung von 1844. Über sie Mme de Girardin〈:) Le Vicomte de Launay, Lettres parisiennes IV p 66 (cit nach Adolphe Démy: Essai historique p 27): »›C’est un plaisir, disait-elle, qui ressemble singulièrement à un cauchemars‹. Et elle énumérait les singularités qui ne manquaient pas: le cheval écorché, le hanneton colossal, la mâchoire mouvante, le Turc pendule qui marquait les heures par le nombre de ses culbutes, sans oublier, M. et Mme Pipelet, les concierges des Mystères de Paris, en angélique.« [G 9 a, 4]
Weltausstellung 1851 14 837, von 1855 80 000 Aussteller. [G 9 a, 5]
Die ägyptische Ausstellung von 1867 war in einem Bau untergebracht, der einen ägyptischen Tempel nachbildet. [G 9 a, 6]
Walpole schildert in seinem Roman »The Fortress« die Vorkehrungen, die in einem eigens für die Besucher der Weltausstellung von 1851 erstellten Hotel für deren Aufnahme getroffen wurden. Zu diesen gehörte die ständige polizeiliche Überwachung des Hotels, die Anwesenheit eines Hotel-Geistlichen und die regelmäßige Morgenvisite eines Arztes. [G 10, 1]
Walpole schildert den Kristallpalast mit der gläsernen Fontäne in seiner Mitte und den Ulmen, »die aussahen, wie wenn ein Waldlöwe in einem Netz aus Glas gefangen worden wäre«, (p 307) Er schildert die mit kostbaren Teppichen verzierten Logen, vor allem aber die Maschinen. »In diesem Maschinenraum gab es selbsttätige Spinnmaschinen, die jacquartsche Spitzenmaschine, Maschinen, die Briefumschläge machten, Dampfwebstühle, Modellokomotiven, Zentrifugalpumpen und Lokomobile; alle diese arbeiteten wie verrückt, während die Tausende neben ihnen in Zylindern und Kapotthüten ruhig wartend dasaßen, passiv und nicht ahnend, daß das Zeitalter des Menschen auf diesem Planeten zuende war.« Hugh Walpole: The Fortress Hamburg, Paris, Bologna 〈1933〉 p 306 [G 10, 2]
Delvau spricht von »gens qui ont les yeux collés chaque soir aux vitres des magasins de la Belle Jardinière, pour voir faire la caisse de la journée.« Alfred Delvau: Les heures parisiennes Paris 1866 p 144 (Huit heures du soir) [G 10, 3]
In einer Senatsrede vom 31 Januar 1868 versucht Michel Chevalier das Palais de l’industrie von 1867 vor der Zerstörung zu retten. Von den mehrern Verwendungsmöglichkeiten, die er für das Gebäude vorschlägt, ist die merkwürdigste, das Innere, das seiner zyklischen Form nach dazu geeignet sei, für Truppenübungen zu verwenden. Auch empfiehlt er den Bau als Lokal einer ständigen ausländischen Mustermesse. Die Absicht der gegnerischen Seite scheint gewesen zu sein, aus militärischen Gründen das Champ de Mars von Bauten freizuhalten. Vgl. Michel Chevalier: Discours sur une pétition réclamant contre la destruction du palais de l’exposition universelle de 1867 Paris 1868 [G 10, 4]
»Les expositions universelles … ne peuvent manquer d’amener les comparaisons les plus exactes entre les prix et les qualités des mêmes produits chez les différents peuples: que l’école de la liberté absolue du commerce se réjouisse donc! Les expositions universelles tendent … à l’abaissement, si ce n’est à la suppression des droits de douane.« Achille de Colusont〈?〉: Histoire des expositions des produits de l’industrie française Paris 1855 p 544 [G 10 a, 1]
»Chaque industrie, exposant ses trophées
Dans ce bazar du progrès général,
Semble avoir pris la baguette des fées
Pour enrichir le Palais de Cristal.
…
Riches, savants, artistes, prolétaires,
Chacun travaille au bien-être commun;
Et, s’unissant comme de nobles frères,
Ils veulent tous le bonheur de chacun.«
Clairville et Jules Cordier: Le Palais de Cristal ou les Parisiens à Londres (Théâtre de la Porte-Saint-Martin le 26 mai 1851) Paris 1851 p 6 [G 10 a, 2]
Die beiden letzten tableaux von Clairvilles »Palais de Cristal« spielen vor und im Kristallpalast. Die Bühnenanweisung für das 〈vor-〉letzte tableau: »La galerie principale du Palais de cristal; à gauche, sur le devant, un lit dont à la tête est un grand cadran. Au milieu, une petite table sur laquelle sont des petits sacs et des pots de terre; à droite une machine électrique; au fond, l’exposition des divers produits d’après la gravure descriptive tirée de Londres.« (p 30) [G 10 a, 3]
Anzeige von Chocolat Marquis aus dem Jahre 1846〈:〉 »Chocolat de la maison Marquis, passage des Panoramas et rue Vivienne 44 – Voici venir l’époque où le chocolat praliné et toutes les autres variétés de chocolat de fantaisie vont sortir … de la maison Marquis sous les formes les plus diverses et les plus gracieuses … Les confidences que nous avons reçus nous permettent de prévenir nos lecteurs que cette fois encore de jolis vers, judicieusement choisis dans ce qui s’est produit cette année de plus pur, de plus gracieux et de plus ignoré du vulgaire profane, accompagneront les exquises douceurs du chocolat Marquis. Par le positif qui court et qui nous régit, nous le félicitons d’accorder si généreusement sa puissante publicité à tous ces jolis vers.« C〈abinet〉d〈es〉 E〈stampes〉 [G 10 a, 4]
Industriepalast von 1855〈:〉 »Sechs Pavillons begrenzen das Gebäude von allen vier Seiten; im Ganzen zählt man im unteren Stockwerk 306 Arkaden. Ein ungeheures Glasdach erhellt den inneren Raum. Als Material ist nur Stein, Eisen und Zink verwendet worden; die Baukosten haben sich auf 11 Millionen Franken belaufen … Zwei große Glasgemälde im Osten und Westen der Hauptgallerie sind besonders bemerkenswerth … Alle Personen erscheinen wie in natürlicher Größe dargestellt, und sind doch nicht weniger als 6 Meter hoch.« Acht Tage in Paris Paris Juillet 1855 p 9/10. Die Glasbilder stellen das industrielle Frankreich und die Gerechtigkeit dar. [G 11, 1]
»J’ai … écrit avec mes collaborateurs de l’Atelier, que le moment était venu de faire la révolution économique …, quoique nous fussions tombés d’accord, quelque temps auparavant, que les populations ouvrières de toute l’Europe étaient solidaires, et qu’il fallait s’attacher avant tout