Das Passagen-Werk. Walter Benjamin

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Название Das Passagen-Werk
Автор произведения Walter Benjamin
Жанр Документальная литература
Серия
Издательство Документальная литература
Год выпуска 0
isbn 9788026829706



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de Londres. C’est là que les ouvriers anglais et français se sont vus, qu’ils ont causé ensemble et cherché à s’éclairer mutuellement.‹ Déclaration faite par M. Tolain, le 6 mars 1868, … dans le premier procès intenté par le gouvernement à l’Association internationale des travailleurs.« Henry Fougère: Les délégations ouvrières aux expositions universelles sous le second empire Montluçon 1905 p 75. Das erste große londoner Meeting stellte eine Sympathieerklärung für die Befreiung der Polen dar. [G 7 a, 3]

      In den drei oder vier Berichten von Arbeiterdelegationen zur Weltausstellung von 1867 findet sich die Forderung der Abschaffung der stehenden Heere und die der Abrüstung. Delegationen der Porzellanmaler, Klavierarbeiter, Schuster und Mechaniker. Nach Henry Fougère p 163/64 [G 7 a, 4]

      1867 »On était saisi d’une singulière impression la première fois qu’on visitait le Champ de Mars. En dehors de l’avenue centrale, par laquelle on arrivait, on ne voyait d’abord … que de fer et de la fumée … Cette première impression exerçait sur le visiteur un tel empire, que, négligeant les distractions que le tentaient au passage, il se hâtait d’aller au mouvement et au bruit qui l’attiraient. Sur tous les points … où les machines étaient au repos, éclataient les accords des orgues mues par la vapeur et les symphonies des instruments de cuivre.« A S de Doncourt: Les expositions universelles Lille Paris 〈1889〉 p 111/12 [G 7 a, 5]

      Dramatisches zur Weltausstellung von 1855: »Paris trop petit« 4 août 1855 Théâtre du Luxembourg; Paul Meurice »Paris« 21 juillet Porte-Saint-Martin; Th⁠〈éodore〉 Barrière et Paul de Kock »L’Histoire de Paris« et »Les grands siècles« 29 septembre; »Les modes de l’exposition«; »Dzim Boum Boum Revue de l’exposition«; Sébastien Rhéal »La vision de Faustus ou l’exposition universelle de 1855«. Nach Adolphe Démy: Essai historique sur les expositions universelles de Paris Paris 1907 p 90 [G 7 a, 6]

      Weltausstellung London 1862⁠〈:〉 »Von dem erhebenden Eindruck der Ausstellung von 1851 war nichts mehr zu spüren … Immerhin hatte die Ausstellung einige sehr bemerkenswerthe Ergebnisse … Die größeste Ueberraschung … bot China. Bis dahin hatte in unserm Jahrhundert Europa von der chinesischen Kunst nur das gesehen, was … als gemeine Marktwaare feilgeboten wurde. Nun aber hatte der englisch-chinesische Krieg sich abgespielt … man hatte … das Sommerpalais, zur Züchtigung, wie es hieß, niedergebrannt. In Wahrheit aber war es den Engländern noch mehr als den dabei betheiligten Franzosen gelungen, große Massen von den dort aufgehäuften Schätzen zu entführen und diese Schätze waren 1862 in London zur Schau gestellt. Aus Bescheidenheit waren es nicht sowohl die Männer, als die Frauen … welche als Aussteller figurirten.« Julius Lessing: Das halbe Jahrhundert der Weltausstellungen Berlin 1900 p 16 [G 8, 1]

      Lessing (Das halbe Jahrhundert der Weltausstellungen Berlin 1900 p 4) weist auf den Unterschied der Weltausstellungen von den Messen hin. Bei letztern führten die Kaufleute das gesamte Warenlager mit sich. Weltausstellungen setzen eine hohe Entwicklung des kommerziellen, aber auch des industriellen Kredits, also des Kredits auf seiten der Besteller wie der beauftragten Firmen, voraus. [G 8, 2]

      »Il faudrait volontairement fermer les yeux à l’évidence, pour ne pas reconnaître, que l’espèce de foire du Champ-de-Mars dans l’année 1798, que les superbes portiques de la Cour du Louvre et de celles des Invalides, dans les années suivantes, et qu’enfin la mémorable ordonnance royale du 13 janvier 1819, ont puissamment contribué aux beaux développemens de l’industrie française … Il était réservé à un Roi de France, de transformer nos magnifiques galeries de son Palais, en un immense basar, pour qu’il fut donné à son peuple, de contempler … ces trophées non sanglants, élevés par le génie des arts et de la paix.« Chenou et H. D.: Notice sur l’exposition des produits de l’industrie et des arts qui a eu lieu à Douai en 1827 Douai 1827 p 5 [G 8, 3]

      Drei verschiedene Arbeiterdelegationen wurden 1851 nach London entsandt; keine von ihnen bewirkte Wesentliches. Zwei waren offiziell: eine ging von der assemblée nationale, eine von der municipalité aus; die private kam mit Unterstützung der Presse, vor allem Emile de Girardins zusammen. Die Arbeiter hatten keinen Einfluß auf die Zusammensetzung dieser Delegationen. [G 8, 4]

      Die Maße des Kristallpalastes bei A S Doncourt: Les expositions universelles Lille Paris 〈1889〉 p 12 – die Langseiten maßen 560 m. [G 8, 5]

      Über die Arbeiterdelegation zur Londoner Weltausstellung von 1862: »Les bureaux électoraux s’organisèrent rapidement, lorsqu’à la ville des élections un incident … vint entraver les opérations. La préfecture de police … prit ombrage de ce mouvement sans précédent et la Commission ouvrière reçut ordre de ne pas continuer ses travaux. Convaincus que cette mesure … ne pouvait être que le résultat d’une méprise, les membres de la Commission … s’adressèrent immédiatement à Sa Majesté … L’Empereur … voulut bien faire accorder à la Commission l’autorisation de poursuivre sa tâche. Les élections … nommèrent deux cents délégués … Une période de dix jours avait été accordé à chaque groupe pour remplir sa mission. Chaque délégué recevait à son départ une somme de 115 fr. et un billet de 2me classe, aller et retour; le logement et un repas, ainsi que les entrées à l’Exposition … Ce grand mouvement populaire a eu lieu sans que le moindre incident … ait été à regretter.« Rapports des délégués des ouvriers parisiens à l’exposition de Londres en 1862 publiés par la Commission ouvrière Paris 1862/64 (1 vol!) p III/IV (Der Bericht umfaßt 53 Delegationsberichte der verschiedenen Gewerbegruppen.) [G 8 a, 1]

      Paris 1855 »Quatre locomotives gardaient l’entrée de l’annexe des machines, semblables à ces grands taureaux de Ninive, à ces grands sphinx égyptiens qu’on voyait à l’entrée des temples. L’annexe était le pays du fer, du feu et de l’eau; les oreilles étaient assourdis, les yeux éblouis: … tout était en mouvement; on voyait peigner la laine, tordre le drap, tondre le fil, battre le grain, extraire le charbon, fabriquer le chocolat, etc. Le mouvement et la vapeur étaient communiqués à tous indistinctement, au rebours de ce qui s’était fait à Londres, en 1851, où les exposants anglais seuls avaient eu le bienfait du feu et de l’eau.« A S Doncourt: Les expositions universelles Lille Paris 〈1889〉 p 53 [G 8 a, 2]

      1867 war das »orientalische Viertel« das Zentrum der Attraktionen. [G 8 a, 3]

      15 000 000 Besucher der Ausstellung von 1867. [G 8 a, 4]

      1855 durften die Waren zum ersten Mal mit Preisen ausgezeichnet werden. [G 8 a, 5]

      »Le Play avait … pressenti combien s’imposerait la nécessité de trouver ce que nous appelons dans le langage moderne ›un clou‹. Il avait prévu également que cette nécessité … donnerait aux expositions la mauvaise orientation qui … faisait dire à M. Claudio-Janet en 1889: ›Un économiste honnête homme M. Frédéric Passy, dénonce depuis de longues années au Parlement et à l’Académie l’abus des fêtes foraines. Tout ce qu’il dit de la foire au pain d’épices … peut, toute proportion gardée, se dire de la grande célébration du centenaires.‹« Dazu die Anmerkung: »Le succès des attractions est en effet tel que la tour Eiffel qui avait coûté six millions avait déjà gagné le 5 novembre 1889 6.459.581 francs.« Maurice Pécard: Les expositions internationales au point de vue économique et sociale particulièrement en France Paris 1901 p 29 [G 9, 1]

      Das Ausstellungspalais von 1867 auf dem Marsfeld, das mit dem Collosseum verglichen wurde: »La distribution imaginée par le commissaire général Le Play était des plus heureuses: les objets étaient répartis par ordre de matière dans huit galeries concentriques; douze allées … partaient du grand axe: les principales nations occupaient les secteurs limités par ces rayons. De la sorte … l’on pouvait … soit en parcourant les galeries, se rendre compte de l’état d’une industrie dans les différentes nations, soit en parcourant les allées transversales se rendre compte de l’état, dans chaque pays, des diverses branches de l’industrie.« Adolphe Démy: Essai historique sur les expositions universelles de Paris Paris 1907 p 129 – Ebendort ein Zitat aus Théophile Gautiers Artikel über das Palais im Moniteur vom 17 September 1867: »Il semble qu’on ait devant soi un monument élevé dans une