Das Passagen-Werk. Walter Benjamin

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Название Das Passagen-Werk
Автор произведения Walter Benjamin
Жанр Документальная литература
Серия
Издательство Документальная литература
Год выпуска 0
isbn 9788026829706



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d⁠〈es〉 E⁠〈stampes〉 [F 5 a, 6]

      Der Eiffelturm: »Für dieses berühmteste Bauwerk des Zeitalters ist es bezeichnend, daß es bei aller Riesenhaftigkeit … doch nippeshaft wirkt, was … daher kommt, daß die subalterne Kunstempfindung der Epoche überhaupt nur im Genregeist und in Filigrantechnik zu denken vermochte.« Egon Friedell: Kulturgeschichte der Neuzeit III München 1931 p 363 [F 5 a, 7]

      »Michel Chevalier mit en poème ses rêves sur le temple nouveau;

      ›Je te ferai voir mon temple, dit le seigneur Dieu

      ………………

      Les colonnes du temple

      Etaient des faisceaux

      De colonnes creuses de fer fondu

      C’était l’orgue du temple nouveau

      ………………

      La charpente était de fer, de fonte de d’acier

      De cuivre et de bronze

      L’architecte l’avait posée sur les colonnes

      Comme un instrument à cordes sur un instrument à vent

      ………………

      Le temple rendait aussi à chaque instant du jour

      Des sons d’une harmonie nouvelle

      La flèche s’élevait comme un paratonnerre

      Elle allait dans les nuages

      Chercher la force électrique

      L’orage la gonflait de vie et de tension

      ………………

      Au sommet des minarets

      Le télégraphe agitait ses bras

      Et de toute part apportait

      De bonnes nouvelles au peuple.‹«

      Henry-René D’Allemagne: Les Saint-Simoniens 1827-1837 Paris 1930 p 308 [F 6, 1]

      Der »Casse-tête chinois«, der im Empire aufkommt, verrät den erwachenden Sinn des Jahrhunderts für Konstruktion. Die Aufgaben, die auf den damaligen Vorlageblättern als schraffierte Teile einer landschaftlichen, architektonischen oder figuralen Darstellung erscheinen, sind eine erste Vorahnung des kubistischen Prinzips in der bildenden Kunst. (Zu verifizieren: ob auf einer allegorischen Darstellung im C⁠〈abinet〉 d⁠〈es〉 E⁠〈stampes〉 der Kopfzerbrecher das Kaleidoskop oder dieses jenen ablöst.) 〈s. Abbildung 5〉 [F 6, 2]

      La casse-tête ou la fureur du jour.

      Photo Bibliothèque Nationale

      Abbildung 5

      »Paris à vol d’oiseau« – Notre-Dame de Paris I 3e livre – schließt seinen Überblick über die Baugeschichte der Stadt mit einer ironischen Charakteristik der Gegenwart ab, die in der Schilderung der architektonischen Minderwertigkeit der Börse gipfelt. Die Bedeutung des Kapitels wird durch die Note ajoutée à l’édition définitive (1832) unterstrichen, in der der Verfasser sagt: »L’auteur … développe dans un de ces chapitres, sur la décadence actuelle de l’architecture et sur la mort, selon lui aujourd’hui presque inévitable, de cet art-roi, une opinion malheureusement bien enracinée chez lui et bien réfléchie.« Victor Hugo: Œuvres complètes Roman 3 Paris 1880 p 5 [F 6, 3]

      Ehe man sich zum Palais de l’Industrie entschloß, hatte ein Plan bestanden, der nach dem Vorbild des Kristallpalastes die Überdachung eines Teils der Champs-Elysées mit seinen Bäumen vorsah. [F 6, 4]

      Victor Hugo in »Notre-Dame de Paris« über die Börse: »S’il est de règle que l’architecture d’un édifice soit adaptée à sa destination … on ne saurait trop s’émerveiller d’un monument qui peut être indifféremment un palais de roi, une chambre des communes, un hôtel de ville, un collége, un manége, une académie, un entrepôt, un tribunal, un musée, une caserne, un sépulcre, un temple, un théâtre. En attendant, c’est une Bourse … Il est Bourse en France, comme il eût été temple en Grèce … On a cette colonnade qui circule autour du monument, et sous laquelle, dans les grands jours de solennité religieuse, peut se développer majestueusement la théorie des agents de change et des courtiers de commerce. Ce sont là sans aucun doute de très superbes monuments. Joignons-y force belles rues, amusantes et variées, comme la rue de Rivoli, et je ne désespère pas que Paris, vu à vol de ballon, ne présente un jour … cette richesse de lignes, … cette diversité d’aspects, ce je ne sais quoi … d’inattendu dans le beau, qui caractérise un damier.« Victor Hugo: Œuvres complètes Roman 3 Paris 1880 p 206/7 (Notre-Dame de Paris) [F 6 a, 1]

      Palais de l’Industrie: »On est frappé de l’élégance et de la légèreté de la charpente en fer; l’ingénieur … M. Barrault a fait preuve d’autant d’habileté que de goût. Quant à la coupole de verre … sa disposition manque de grâce, et l’idée qu’elle rappelle … c’est … celle d’une cloche immense. L’industrie était en serre chaude … De chaque côté de la porte on avait placé deux superbes locomotives avec leurs tenders.« Dies letzte Arrangement wohl erst anläßlich der abschließenden Preisverteilung vom 15 novembre 1855. Louis Enault: Le palais de l’industrie (Paris et les Parisiens au XIXe siècle Paris 1856 p 313 u 315) [F 6 a, 2]

      Einiges aus Charles-François Viel: De l’impuissance des mathématiques pour assurer la solidité des bâtiments Paris 1805: Viel unterscheidet die ordonnance von der construction; er bemängelt an den jüngern Architekten vor allem die mangelnde Kenntnis der erstem. Verantwortlich dafür macht er »la direction nouvelle que l’instruction publique de cet art a éprouvée au milieu de nos orages politiques.« (p 9) »Quant aux géomètres qui exercent l’architecture, leurs productions, sous le rapport de l’invention et sous celui de la construction, prouvent la nullité des mathématiques pour l’ordonnance, et leur impuissance pour la solidité des édifices.« (p 10) »Les mathématiciens … prétendent avoir … réuni la hardiesse avec la solidité. Il n’y a que sous l’empire de l’algèbre que ces deux mots puissent se rencontrer.« (p 25. Festzustellen ob dieser Satz ironisch gemeint oder in ihm die Algebra in Gegensatz zur Mathematik gestellt ist.) Der Verfasser kritisiert die ponts du Louvre und de la Cité (beide von 1803) nach den Grundsätzen von Leon Battista Alberti. [F 6 a, 3]

      Viel zufolge müssen um 1730 die ersten Brückenbauten auf konstruktiver Grundlage unternommen worden sein. [F 7, 1]

      1855 wird, in schnellem Tempo, um bei der Eröffnung der Weltausstellung dienen zu können, das Hôtel du Louvre gebaut. »Pour la première fois les entrepreneurs avaient eu recours à la lumière électrique afin de doubler le labeur de jour; des retards inopinés s’étaient produits; on sortait de la grève fameuse des charpentiers, qui tua la charpente en bois à Paris: aussi le Louvre offre-t-il cette particularité assez rare de marier dans sa structure les pans de bois des vieilles maisons aux planchers en fer des constructions modernes.« Vte G d’Avenel: Le mécanisme de la vie moderne I Les grands magasins (Revue des deux mondes 15 juillet 1894 p 340) [F 7, 2]

      »Les wagons des chemins de fer à l’origine ont l’aspect des diligences, les autobus des omnibus, les lampadaires électriques des lustres à gaz et ceux-ci de lampes à pétrole.« Léon Pierre-Quint: Signification du cinéma (L’art cinématographique II Paris 1927 p 7) [F 7, 3]

      Zum Empire von Schinkel: »Der Bau, der den Ort anweist, der Unterbau, der den eigentlichen Standort der Erfindung enthält, … erscheint – wie ein Wagen. Er trägt Bauideale dahin, die nur auf solche Weise noch zu ›praktizieren‹ sind.« Carl Linfert: Vom Ursprung großer Baugedanken (Frankfurter Zeitung 9 Januar 1936) [F 7, 4]

      Über die Weltausstellung von 1889: »On peut dire de cette solennité qu’elle a été, par-dessus tout, la glorification du fer … Ayant entrepris de donner, aux lecteurs du Correspondant, quelques aperçus généraux sur l’industrie, à propos de l’Exposition du Champ de Mars, nous avions choisi pour