The History of Freedom, and Other Essays. Acton John Emerich Edward Dalberg Acton, Baron

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Название The History of Freedom, and Other Essays
Автор произведения Acton John Emerich Edward Dalberg Acton, Baron
Жанр Историческая литература
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luy donnant le nom de tyran, veu qu'il n'a rien entrepris et exécuté que ce qu'il pouvoit faire par l'expresse parole de Dieu … Dieu commande qu'on ne pardonne en façon que ce soit aux inventeurs ou sectateurs de nouvelles opinions ou hérésies… Ce que vous estimez cruauté estre plutôt vraye magnanimité et doulceur (Sorbin, Le Vray resveille-matin des Calvinistes, 1576, pp. 72, 74, 78).

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Il commanda à chacun de se retirer au cabinet et à moy de m'asseoir au chevet de son lict, tant pour ouyr sa confession, et luy donner ministérialement absolution de ses péchez, que aussi pour le consoler durant et après la messe (Sorbin, Vie de Charles IX.; Archives Curieuses, viii. 287). Est très certain que le plus grand regret qu'il avoit à l'heure de sa mort estoit de ce qu'il voyoit l'idole Calvinesque n'estre encores du tout chassée (Vray resveille-matin, 88).

103

The charge against the clergy of Bordeaux is brought by D'Aubigné (Histoire Universelle, ii. 27) and by De Thou. De Thou was very hostile to the Jesuits, and his language is not positive. D'Aubigné was a furious bigot. The truth of the charge would not be proved, without the letters of the President L'Agebaston and of the Lieutenant Montpezat: "Quelques prescheurs se sont par leurs sermons (ainsi que dernièrement j'ai escript plus amplement à votre majesté) estudié de tout leur pouvoir de troubler ciel et terre, et conciter le peuple à sédition, et en ce faisant à passer par le fil de l'espée tous ceulx de la prétendue religion réformée… Après avoir des le premier et deuxième de ceste mois fait courrir un bruit sourd que vous, Sire, aviez envoyé nom par nom un rolle signé de votre propre main au Sieur de Montferaud, pour par voie de fait et sans aultre forme de justice, mettre à mort quarante des principaulx de cette ville…" (L'Agebaston to Charles IX., Oct. 7, 1572; Mackintosh, iii. 352). "J'ai trouvé que messieurs de la cour de parlement avoyent arresté que Monsieur Edmond, prescheur, seroit appellé en ladicte court pour luy faire des remonstrances sur quelque langaige qu'il tenoit en ses sermons, tendant à sédition, à ce qu'ils disoyent. Ce que j'ay bien voullu empescher, craignant que s'il y eust esté appellé cella eust animé plusieurs des habitants et estre cause de quelque émotion, ce que j'eusse voluntiers souffert quant j'eusse pansé qu'il n'y en eust qu'une vingtaine de despéchés" (Montpezat to Charles IX., Sept. 30., 1572; Archives de la Gironde, viii. 337).

104

Annal. Baronii Contin. ii. 734; Bossuet says: "La dispense vint telle qu'on la pouvoit désirer" (Histoire de France, p. 820).

105

Ormegregny, Réflexions sur la Politique de France, p. 121.

106

De Thou, iv. 537.

107

Charrière, iii. 154.

108

Carmina Ill. Poetarum Italorum, iii. 212, 216.

109

Tiepolo, Desp. Aug. 6, 1575; Mutinelli, Storia Arcana, i. 111.

110

Parendomi, che sia cosa, la quale possa apportar piacere, e utile al mondo, si per la qualità del soggetto istesso, come anco per l'eleganza, e bello ordine con che viene cosi leggiadramente descritto questo nobile, e glorioso fatto … a fine che una cosi egregia attione non resti defraudata dell' honor, che merita (The editor, Gianfrancesco Ferrari, to the reader).

111

Huc accedit, Oratorem Sermi Regis Galliae, et impulsu inimicorum saepedicti Domini Cardinalis, et quia summopere illi displicuit, quod superioribus mensibus Illma Sua Dominatio operam dedisset, hoc sibi mandari, ut omnia Regis negotia secum communicaret, nullam praetermisisse occasionem ubi ei potuit adversari (Cardinal Delfino to the Emperor, Rome, Nov. 29, 1572; Vienna Archives).

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Fà ogni favor et gratia gli addimanda il Cardinale di Lorena, il consiglio del quale usa in tutte le più importanti negotiationi l' occorre di haver a trattar (Cusano to the Emperor, Rome, Sept. 27, 1572). – Conscia igitur Sua Dominatio Illma quorundam arcanorum Regni Galliae, creato Pontifice sibi in Concilio Tridentino cognito et amico, statuit huc se recipere, ut privatis suis rebus consuleret, et quia tunc foederati contra Thurcam, propter suspicionem Regi Catholico injectam de Orangio, et Gallis, non admodum videbantur concordes, et non multo post advenit nuncius mortis Domini de Colligni, et illius asseclarum; Pontifex justa de causa existimavit dictum Illmum Cardinalem favore et gratia sua merito esse complectendum. Evenit postmodum, ut ad Serenissimam Reginam Galliarum deferretur, bonum hunc Dominum jactasse se, quod particeps fuerit consiliorum contra dictum Colligni; id quod illa Serenissima Domina iniquo animo tulit, quae neminem gloriae socium vult habere; sibi enim totam vendicat, quod sola talis facinoris auctor, et Dux extiterit. Idcirco commorationem ipsius Lotharingiae in hac aula improbare, ac reprehendere aggressa est. Haec cum ille Illustrissimus Cardinalis perceperit, oblata sibi occasione utens, exoravit a Sua Sanctitate gratuitam expeditionem quatuor millia scutorum reditus pro suo Nepote, et 20 millia pro filio praeter sollicitationem, quam prae se fert, ut dictus Nepos in Cardinalium numerum cooptetur… Cum itaque his de causis authoritas hujus Domini in Gallia imminuta videatur, ipseque praevideat, quanto in Gallia minoris aestimabitur, tanto minori etiam loco hic se habitum id, statuit optimo judicio, ac pro eo quod suae existimacioni magis conducit, in Galliam reverti (Delfino, ut supra, both in the Vienna Archives).

113

Intiera Relatione della Morte dell' Ammiraglio.

114

Ragguaglio degli ordini et modi tenuti dalla Majesta Christianissima nella distruttione della setta degli Ugonotti Con la morte dell' Ammiraglio, etc.

115

Bib. Imp. F. Fr. 16, 139.

116

Maffei, Annali di Gregorio XIII., i. 34.

117

La nouvelle qui arriva le deuxième jour du présent par ung courrier qui estoit depesché secrétememt de Lyon par ung nommé Danes, secrétaire de M. de Mandelot … à ung commandeur de Sainct Anthoine, nommé Mr. de Gou, il luy manda qu'il allast advertir le Pape, pour en avoir quelque présant ou bienfaict, de la mort de tous les chefs de ceulx de la religion prétendue refformée, et de tous les Huguenotz de France, et que V.M. avoit mandé et commandé à tous les gouverneurs de se saisir de tous iceulx huguenotz en leurs gouvernemens; ceste nouvelle, Sire, apporta si grand contentement a S.S., que sans ce que je luy remonstray lors me trouvant sur le lieu, en presence de Monseigneur le C1 de Lorraine, qu'elle devoit attendre ce que V.M. m'en manderoit et ce que son nonce luy en escriroit, elle en vouloit incontinent faire des feux de joye… Et pour ce que je ne voulois faire ledict feu de joye la première nuict que ledit courrier envoyé par ledict Danes feust arrivé, ny en recevoir les congratulations que l'on m'en envoyoit faire, que premièrement je n'eusse eu nouvelles de V.M. pour sçavoir et sa voulanté et comme je m'avoys a conduire, aucuns commençoient desjà de m'en regarder de maulvais œills (Ferralz to Charles IX., Rome, Sept. 11, 1572; Bib. Imp. F. Fr. 16,040). Al corriero che porto tal nuova Nostro Signore diede 100 Scudi oltre li 200 che hebbe dall' Illustrissimo Lorena, che con grandissima allegrezza se n'ando subito a dar tal nuova per allegrarsene con Sua Santita (Letter from Rome to the Emperor, Sept. 6, 1572; Vienna Archives).

118

Charles IX. to Ferralz, Aug. 24, 1572; Mackintosh, iii. 348.

119

Elle fust merveilheusement ayse d'entendre le discours que mondit neueu de Beauville luy en feist. Lequel, après luy avoir conté le susdit affayre, supplia sadicte Saincteté, suyvant la charge expresse qu'il avoit de V.M. de vouloir concéder, pour le fruict de ceste allegresse, la dispense du mariage du roy et royne de Navarre, datée de quelques jours avant que les nopces en feussent faictes, ensemble l'absolution pour Messeigneurs les Cardinaux de Bourbon et de Ramboilhet, et pour tous les aultres evesques et prélatz qui y avoient assisté… Il nous feit pour fin response qu'il y adviseroit (Ferralz, ut supra).

120

Pensasi che per tutte le citta di Francia debba seguire il simile, subitoche arrivi la nuova dell' esecutione di Parigi… A N.S. mi faccia gratia di basciar i piedi in nome mio, col quale mi rallegro con le viscere del cuore che sia piaciuto alla Dio. Mtà. d' incaminar nel principio del suo pontificato si felicemente e honoratamente le