Histoire d'Henriette d'Angleterre. La Fayette Marie-Madeleine Pioche de La Vergne

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Название Histoire d'Henriette d'Angleterre
Автор произведения La Fayette Marie-Madeleine Pioche de La Vergne
Жанр Зарубежная классика
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Издательство Зарубежная классика
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et de brocard,Ses mouches, ses pendants d'oreille,Son teint vif et ses yeux brillants.Il aura bientôt des amants.

(Ms. de Choisy, t. III, fo 57.)

35

Mémoires de Choisy, collect. Petitot, t. LXIII, p. 127.

36

Page 44 de notre édition.

37

Mémoires, coll. Petitot, t. XXXIX, p. 117.

38

Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre.

39

T. II, p. 2, avec le fac-simile en regard.

40

Sur madame de Monaco, voir page 40, la note 164. – Sur madame de Thianges, voir page 16, note 124.

41

Catalogue Chambry, par Etienne Charavay, 1881 no 381.

42

Mémoires de Cosnac, t. I, p. 415.

43

Voir p. 139 de notre édition.

44

Dictionnaire de Furetière, au mot galanterie.

45

Remarques sur la langue françoise, utiles à ceux qui veulent bien lire et bien écrire. 1647, in-4o.

46

Dans le Trévoux, au mot galant. Voir aussi La Bruyère: «Une femme galante veut qu'on l'aime, etc., etc.»

47

Mémoires de mademoiselle de Montpensier, coll. Petitot, t. III, p. 389.

48

Remarquons en passant que Molière fait parler Mascarille et Jodelet, non comme des valets qui singent leurs maîtres, mais comme des marquis véritables. Ce qu'ils disent est ridicule, mais n'est nullement de mauvais ton. Il n'est pas extraordinaire qu'en les écoutant Cathos et Madelon crussent entendre des personnes de qualité. Mademoiselle de Scudéry ou quelque autre «illustre» de l'hôtel de Rambouillet s'y fût trompée comme elles.

49

«Il avoit épousé la fille du duc de Sully, petite-fille, par sa mère, du chancelier de France [Séguier], bien faite, sage et riche; mais jusqu'alors (1665), elle avoit été mariée sans l'être.» (Mémoires de madame de Motteville, collect. Petitot, t. XL, p. 227.) Si l'on était sous Louis XV, cela ne voudrait rien dire, puisqu'il s'agit d'une femme, non d'une maîtresse. Mais nous sommes en 1665, et le mot est significatif. D'ailleurs madame de Sévigné est plus nette encore, à propos d'une maîtresse. (Voir plus bas, p. XLIV.)

50

Un sottisier lui fait dire aux dames:

… je n'ai point d'armes

Pour vous servir, comme le grand Saucourt.

51

Lettre du 15 janvier 1672. – Elle écrivait trois mois auparavant: «Le comte de Guiche est à la Cour tout seul de son air et de sa manière, un héros de roman, qui ne ressemble point au reste des hommes (Lettre du 7 octobre 1671).»

52

Les deux lettres qu'on trouve pour la première fois dans l'édition de 1754 de l'Histoire amoureuse des Gaules (t. II, pp. 120 et 148) sont apocryphes. Voir Appendice I, à la fin de ce volume.

53

Lettre du 15 janvier 1672.

54

Lettre du 29 avril 1672.

55

Ermeland, en latin Varmia, petit pays dans le palatinat de Marienbourg, qui appartint à la Pologne de 1466 à 1772. L'évêque avait le titre de Prussiæ regiæ primas.

56

Elles nous ont été communiquées par M. Etienne Charavay.

57

Cela nous ramène encore aux Précieuses ridicules et à la «furieuse plaie» de Mascarille. Je le répète, ce Mascarille est un vrai marquis.

58

Page 99 de cette édition.

59

Mémoires de madame de Motteville, coll. Petitot, t. XL, p. 232.

60

Lettre du 13 janvier 1672.

61

Lettre du 27 avril 1672.

62

L'archevêque de Rouen était Harlay de Chanvallon.

63

Mémoires du maréchal de Gramont, édit. Petitot, t. LVII, p. 95.

64

Page 65 de notre édition.

65

La Princesse, voir la note de la page LVIII.

66

Voir p. 138 de ce volume.

67

Tome II, p. 99. – On en connaît au moins trois manuscrits, tous plus complets que l'imprimé de 1754. Un de ces manuscrits a servi à M. Charles Livet pour sa publication de La Princesse dans le troisième volume de l'Histoire amoureuse des Gaules, édition Jannet. La bibliothèque nationale en possède deux; l'un fait partie d'un recueil de pièces satiriques et a pour titre: Histoire de Madame et du comte de Guiche, de Madame la comtesse de Soissons et de M. de Wardes (In-4o, f. fr. 15229). L'autre, intitulé Histoire des amours de Madame, est précédée d'une relation confuse et erronée des relations de Louis XIV avec Madame qui ne peut être du même auteur que le reste (In-8o, f. fr. 13777). Nous donnons en appendice deux fragments de ce libelle.

68

Sur Montalais, voir p. 60.

69

L'habit de cour qu'on ne pouvait porter sans brevet.

70

Lettre du 26 mai 1683.

71

Voir la Princesse, à la fin de ce volume. – Je cite ici d'après le ms. de la biblioth. nat., f. fr. 13777.

72

Voir p. 116.

73

Lettre à madame de Saint-Chaumont, Cosnac, loc. cit., p. 407.

74

Lettre de Louis XIV, septembre 1669.

75

Dans la dédicace d'Andromaque, en 1667.

76

«Bérénice fut un duel dont tout le monde sait l'histoire. Une princesse fort touchée des choses de l'esprit, et qui eût pu les mettre à la mode dans un pays barbare, eut besoin de beaucoup d'adresse pour faire trouver les deux combattants sur le champ de bataille sans qu'ils sussent où on les menoit.» (Fontenelle, Vie de Corneille, dans l'Histoire de l'Académie françoise, par Pellisson, 1729, in-4o, p. 195.)

77

Voir p. 118 de cette édition.

78

Voir Appendice II, à la fin de ce volume.

79

Edit. Chéruel, 1856, t. III, p. 180 et suiv.

80

Saint-Simon dit, par exemple, qu'un garçon de la chambre de Madame fit l'eau de chicorée, et madame de La Fayette, qui était de la maison et savait comment tout s'y passait, dit précisément que madame Desbordes, première femme de chambre de Madame, prépara l'eau de chicorée. Il fallait que Saint-Simon fût bien mal renseigné sur madame, car il dit dans ce récit qu'elle «étoit d'une très bonne santé». La lettre de Guy Patin qu'on a lue plus haut, le sentiment de Monsieur Vallot sur la mort de Madame (ms. de Conrart, t. XIII), l'abominable propos de Monsieur, pendant le voyage de Flandre (Voir p. 120 de notre édition), prouvent que Madame n'avait pas même les apparences de la santé. Mademoiselle de Montpensier qui la vit après