Название | Un Plafond En Frêne |
---|---|
Автор произведения | Gerardo D'Orrico |
Жанр | |
Серия | |
Издательство | |
Год выпуска | 0 |
isbn | 9788835421863 |
Puisque les environnements là-bas veulent décider les autres, une honte telle qu'elle est écrite, nous fait oublier d'aller au-delà de ce que vivent les autres... il me semble que les environnements humains où nous vivons ne sont pas du tout inscrits dans le droit italien, à en même temps, je ne vois presque rien et personne ne le fait. Illégal comme si de rien n'était, un travail public pour niveler la lumière a toujours été le travail de quelqu'un, eux-mêmes se vantent de qui sait ce qu'ils ont fait, d'autres le louent. Je crois que de nos jours, de petites manœuvres politiques, bureaucratiques ou juridiques créeraient un système stable, sans l'aide manuelle de l'homme, au contraire, il y a ceux qui veulent encore plus de sang, des gens qui sacrifient leur vie pour soutenir le poids d'une société qu'elle n'est pas, ou ne veut rien faire, qu'il doit mourir selon les calendriers astraux. Rêver d'un monde meilleur, c'est mourir chaque jour pour tout le monde, la tromperie a déjà été découverte, l'avenir est déjà un fait, cette forêt sera émue de revoir, de voir un homme, merci.
Aujourd'hui je pars pour des vacances très proches de ma famille, au sanctuaire de Santa Maria delle Armi à Cerchiara di Calabria. Un mal n'est pas un bien, comme d'autres malheurs de cette époque, malheureux notre vie destinée à suivre, dans un très bon sens nous serons vengés par l'avenir. Les coups tu sais, ils arrêtent les gens qui ne peuvent pas les supporter, qui sont fatigués ou qui n'ont plus d'arguments pour expliquer leur super arrivée sur la planète. Je suis un peu ivre de disgrâce en disgrâce, le bien n'arrive que dans la lumière, parce que c'est un brillant mais, peu importe celui qui a choisi pour moi, pour toi, car tout le monde sera déjà passé.
La solitude est un cadeau rare, un moment précieux, combien il vaut la peine d’être seul.
J’essaye de comprendre les aiguilles d’une horloge car elles effacent la mémoire, je fume une cigarette alors que je ne sais pas si je dois t’oublier ou, assurez-vous de vous garder, résistez pour vous retrouver. Bisous, G.
2. Obero, l’acte d’oppression
28.07.2007
Des coups pour nous rendre inconscient du jour qui s'apprête à arriver, en plein jour ou le soir pour comprendre aussi comment frapper les autres ou, pour se personnifier, pour nous enlever notre identité... je me suis rendu compte en même temps que si Moi ou quelqu'un d'autre présente ou agit pour de bon, je ne peux pas rester dans une position immobile. En attendant, je trouve la journée déroutante, sans objectifs, puisqu'elles ont été annulées depuis le début de la journée, je pense que cela a été fait à tous ceux que je connais, impliqués dans le fait de devoir faire les choses qui devaient être faites. Des événements qui se transmettent en attendant la fin des temps, aussi parce que comme je le sais déjà, un bien a des prérogatives, nous devrons aussi faire ce qui nous a enlevé le dérangeait et devait être fait, comme l'environnement du village aussi un citoyen maigre, annulé dans les forces de l'hôte de ceux qui ne savent que pour déplacer un être humain d'avant en arrière. Avec une difficulté aussi évidente, nous sortirons certainement de cette situation ou de ces ennuis, nous ne pouvons tout simplement pas continuer indéfiniment, nous ne sommes pas un infini corporel, mais le fait que quand tout se brise, nous le reconstruisons, pour fonctionner à nouveau comme si de rien n'était, j'espère toujours dans votre clémence et dans votre bienveillance, les derniers mots de ceux qui se réjouissent parfois de cette réalité, comme une bouteille sera déjà terminée. Le temps le fait grandir… oui bien sûr, chaque acte n'est pas faux car il fait partie d'une vie, mais il y a des actes manifestement mauvais dans son cours, certainement mais pas, en buvant de l'eau de Javel. Bien sûr, ils veulent nous tuer, même pour dire ou faire, les personnes présentes ne peuvent pas voir les objets en mouvement, surtout la tête, ne veulent pas me blesser mais, je la porte toujours avec moi parce que je vis dans la journée, aujourd'hui le moderne.
Ces problèmes sont personnels, pas malades, alors ce sera un droit à la vie privée ou un vol, il n'y a pas besoin d'un moment à l'autre d'aller voir si un mal est toujours une mauvaise chose, c'est bien aussi un bien, cependant, à cinq minutes du matin vous comprenez déjà que ce n'était pas vraiment pour faire ce qu'il fallait aujourd'hui, comment ils le disent, ce qu'ils nous ont promis ou, ils vont nous faire faire. Cela vous tuera, soyez sûr mais seulement si vous resterez toujours immobile, pas plus, bref, en réalité, le temps lui-même enlève ces choses qui ne peuvent pas être faites, comme si quelqu'un vous rappelait toujours un jour que vous mourrez, alors que vous le ferez rester toujours belle et vivante. Vous êtes sûr d'être en vie… c'est un fait très important dans le grand nombre de personnes présentes, comment n'aimez-vous pas sortir et trouver les prochains qui parlent? Vous savez que le temps lave tout. Un asocial après cinq ans change de personnalité, devient très social, amical, c'est ce que fait la société moderne. Ceux qui réalisent ces «preuves du bien» ont une renommée existentielle en tant que meurtre, comme ce n'est pas très clair pour certaines causes on meurt et personne ne l'admet, on pourrait être l'hypothèse du mal.
Alors vous étudiez votre bombe à retardement pour ne pas vous retrouver dans cet endroit quand elle explose, puis vous inventez un bar où vous pouvez être indifférent ou, faites quelque chose que vous aimez, puis continuez vers votre ville pour aller déjeuner, dîner, puis bleu, il faut bouger même si on retombe en soi, forcément parce qu'on ne peut pas toujours recommencer. Il valait mieux mourir, disaient-ils en Italie, puis finalement la mort était au bout de deux heures, ce n'était pas du tout un bonheur mais de ce que c'est personnellement... de n'avoir rien fait et de faire semblant de ne pas mourir.
Continuez à vivre, ne faites rien, vous mourrez simplement, alors ne croyez pas en cet environnement pas très coloré, un mal ici sera de l'argent, vous ne pouvez croire qu'en notre oui, en écrivant: nous ne sommes pas très intéressés par le mal, et le important qu'on ne nous ait pas donné, ils ne peuvent pas nous dire dans dix ans que nous sommes des pigeons ou des petits, si nous étudions autre chose. Le poids corporel n'est pas seulement de l'eau, vous verrez que vous ne descendez plus sur terre, puisque moi non plus je ne descends jamais, car je ne serai jamais tombé dans le mal, alors calmez votre âme en parlant de mensonges apaisants. Ce front n'est qu'un outil commercial, plus tard il s'ouvre dans le fantasme, sinon il n'y a pas de contraire à un seul ou une raison qui fend la vie, la vie ne continue-t-elle pas ce soir? Aucun effet de levier, aucune prise, aucun mal, pensez à l'avenir de ma part. Un garçon vit, mange la fête... il n'a rien à voir avec ça, plus que toute autre chose tu n'as jamais appelé aucun des humains qui ne sont qu'une idée, il rit sans être un imbécile, ce n'est pas quelqu'un qui devient fou avec le mal ou, qui n'a jamais eu d'avenir. Quelqu'un viendra vous arrêter, un voisin ou deux, ils vous diront d'arrêter de faire ce que vous faites... si vous ne comprenez pas le présent, pensez que c'est l'avenir.
Ok ne faisons plus rien, détendons-nous dans notre soirée ou, la soirée n'est plus à nous mais à ceux qui ne savent pas, ça vous semblera étrange peut-être que vous le savez déjà, ils sont heureux de mourir, nous ne le savons pas, nous le faisons ne fait aucune différence. Ok alors ça ne marche pas, ça est déjà passé ou ça va arriver ok, alors ce n'est pas là, pourtant ça vient cependant, mais encore une chose, vive le communisme s'il y a encore des communistes, vivre avec sera séparé de le fascisme dans la vie, un parasite penché à droite est ce qui parvient à vous empêcher de parler si la solution est des êtres, pense que les autres seront aussi des êtres, mangent bien mais en bonne santé. Entrez dans votre bien-être ne pensez pas à supprimer des maisons, quand le passé est un passé, le présent sent toujours bon.
Ce n'est pas le cas, donc personne ne le sait, donc qui veut... après les intérêts ne seront pas les leurs mais les nôtres. On se repose sans participants, sans amours comme les mûres, visons le centre, ils veulent nous voir dans un bar en train de prendre un café ou à la maison, puis sortons comme Mathusalem quand elle sort de la baignoire, ça va. Peut-être que ce n'est pas là, peut-être que cela ne respire pas la tromperie d'un monde incapable de réaliser