Название | Un Plafond En Frêne |
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Автор произведения | Gerardo D'Orrico |
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Серия | |
Издательство | |
Год выпуска | 0 |
isbn | 9788835421863 |
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Ce livre a été créé avec StreetLib Write (http://write.streetlib.com).
Courte biographie
Gerardo D’Orrico est né à Cosenza le 6 mars 1976. Après avoir terminé mes études secondaires, j’ai fréquenté les universités d’Arcavacata et de Bologne mais sans diplôme, j’ai de bonnes connaissances en informatique et en quelques instruments de musique. Ma jeunesse était entre la résidence de Luzzi et Cosenza pour les études ou dans la ville natale de ma mère Villapiana sur la mer. J’ai fait de nombreux voyages en Italie et à l’étranger, après mon service militaire j’ai aidé mon père dans son travail et je me suis consacré à l’écriture en prose ainsi qu’à la poursuite de ma passion pour l’informatique et la programmation de logiciels, j’ai créé et géré le site Web Beneinst.it, où chacun peut insérer gratuitement ses propres pages de journal dans des lettres, des poèmes, des dessins, des peintures ou des photos. J’habite à Luzzi où entre autres métiers et recherches d’art technologique, je continue l’écriture, la révision ou la publication de mes textes, jusqu’à présent j’ai écrit quatre livres sous forme de journaux intimes: 1. Le bon et le mauvais, les mémoires 2. Un plafond en frêne 3. Nous sommes déjà dans dix minutes et 4. Dis le toi-même.
Photo de couverture originale, GD 1986
Préface
Ce livre est la deuxième histoire manuelle sur la vie contemporaine et le journal personnel que j’ai écrit. La vraie joie que notre temps redonne à travers des expériences, non pas une découverte de nouvelles technologies mais une fonction dans différentes périodes historiques et géologiques, ce qui l’a déjà créée en fonction des explications, des événements et de leurs solutions. Une promenade à la lumière du soleil, des faits et des enchantements parfois jamais révélés, peut-être trop nouveaux et insolites, dans une communauté qui présente depuis un certain temps des besoins, comme une voix plus large et plus élancée, un outil pour mieux insister le jour vraiment et pas dans un rêve.
Journal écrit de manière simple pour une forme d’art textuel, pour justifier même une expérience initiale et inculte aujourd’hui. Dans le style, Ulysse de James Joyce devient un livre de bien compris comme forme de vie, d’art du présent, indispensable pour exister libre, vivant et sûr. La période des seize lettres contenues s’étend d’avril 2007 à octobre 2008, la traduction française est par Nevia Ferrara. Bonne lecture,
Gerardo D'Orrico
1. Mélange et deux
28.04.2007
Ne perdez jamais votre plume ou patience, n'acceptez jamais un mal à la maison, ce n'est jamais fini, quand ça semble fini ça ne finit jamais, les bonnes personnes sont nécessaires, même quand elles disparaissent toutes il y a toujours quelqu'un, quand il n'y a personne laissé là nous sommes. Il arrive à un moment qui ne fait pas partie de l'horloge d'exister, pendant ce qu'ils appellent le jour ou la nuit, le monde n'était pas tombé dans un état d'inconscience en effet il n'avait jamais été, en fait c'est un tel jour alors il ne serait pas un problème. Il y aura peut-être trop de monde, mais en réalité, il n’existe pas de loi fondamentale pour les structures humaines déjà établies en septième année.
Combien de voleurs, de nombreux avions à voler et veulent sur la planète. Aucun problème aux yeux d'une lumière cristalline claire, aucune incertitude à l'arrière de la voiture, aucune distorsion sonore. Les autres n'ont rien à voir avec nous, ce ne sont que des images et pourtant ils nous changent, la question se pose, je me suis dit il y a bien des années, quel est le problème de les retirer de l'image pour ce qu'ils se sont avérés être. La loi est la nôtre, la vie ne devient pas une centrifugeuse. Vous montez en niant le mal, ne dites jamais qu'il n'existe pas, vous devez plutôt vous organiser pour l'infini... ce qui de toute façon vous ne pouvez pas rester ici sans lui. Le mal a été combattu depuis la mort de Jésus, mais j'étudie toujours ce qu'il nous fait dans ce siècle, peut-être pour cette raison que le temps pourrait être une tromperie qui cache le ciel, ce seront ceux qui prendront soin de ne laisser personne partir, ou l'absurdité de «inverser le mal par le bien». Un mal ressemble à une nature morte, tandis que les autres personnes en caoutchouc.
Les allégories ne sont pas très digérées par les logiciels d'entreprise nationaux mais, je vous assure, elles sont une clé primaire pour comprendre où mettre les pieds en avant, c'est difficile à comprendre, même les choses simples sont impossibles. Mon visage ne sera pas le mien, que s'ils le font je ne voulais que la liberté d'expression, ce qui peut être donné sinon l'enveloppe de ce que nous sommes, tout le vrai ou le faux que l'on ne sait pas, rien ne s'arrête mais il y a des règles qui ne peuvent pas être séparés, avec la tromperie qu'ils n'existent pas. Cela reste une photocopie de ce que c'était ou de ce que tu veux être avec insistance, de ce que la vie ressent alors comme la paix ou, un point de départ vers ce qu'ils ne nous laisseront jamais vivre, pour me libérer je ne sais même pas ce que j'ai fait un certain nombre de choses positives et d'autres négatives.
Libérez tout mal et vous verrez que vous serez seul, ils m'ont dit qu'il était arrivé, puis j'ai vu à qui il était associé, c'est-à-dire en pensant à cet abîme dans lequel le monde est injuste. Vous pouvez vous échapper, courir puis vous vous fatiguez, tirez puis les munitions s'épuisent mais, un jeu a déjà commencé, nous sommes à l'intérieur, il suffit de suivre les flèches, qui nous voit n'est que Dieu pour le moment, ça ne s'arrête pas si vous ne vous arrêtez pas, si vous essayez d'arrêter, ils vous tirent dessus mais, vous ne pouvez pas vous échapper pour toujours, il y a ceux qui se sont échappés pour toujours mais, cela ne semble pas le chemin de ceux qui doivent mourir sur le terrain. Le contraire d'un plan idéal moderne est la journée normale, le quotidien. Une bouffée d'air frais, comme c'est cher ici en Italie, on paye pour respirer, on donne des émotions d'amour ou d'autres œuvres qui sont au contraire ce que chaque instant continu devrait être.
Un bien peut sembler une exagération de ce que c'est d'être toujours heureux, quand on est amoureux, ivre ou payé, pas une invention. Normalement je ne tue pas les madones, je n'offense pas, je ne transgresse pas ce qui est bien, il y a ceux qui nous conseillent de le faire, alors il sera logique qu'on se sente mal ou avec tous ces problèmes, tous ceux hurle dans la maison des gens qui se contreviennent, sans même savoir pourquoi tuer un faux bien, ou quoi vraiment plus que les autres. Leurs idoles seront des suicides, leurs dirigeants peut-être des âmes asservies d'une vie après la mort et ils adorent là-bas, des esclaves de l'enfer aussi ou, ils n'ont jamais pu avoir une idée de ce qu'est l'enfer, alors ils veulent voir. C'est bien d'aller au-delà de l'enfer, de scruter ce que l'on voit, car le mot ne suffit pas... il faut aller plus loin mais en réalité plusieurs fois tu viens déjà de passer, on est déjà libéré de l'espace qui tourne autour de nous, nous devons nous respecter avant tout, mais nous restons comme si nous venions de naître, et nous ne savions pas comment le faire. Le temps forme ce qui est juste, la première trace de la direction visuelle et sonore de notre être, la première chose à faire est de ne pas s'offenser, puis les dix commandements, une surprise sera de trouver au bout du chemin Dieu, un qui veut nous tuer.
Une grosse erreur reste de croire qu'un mal pourrait être un bien... un mal est un mal, il veut que le mal, le même bien un bien arrête, au contraire j'entends des gens tous les jours qui veulent en discuter. Certes ce sera une résolution mathématique, entre ce qui compte et ce qui reste mais, l'après c'est tout comme dire le total mais pas même parce que même après, comme le dysfonctionnement distribué encore aujourd'hui, il ne peut être récupéré ce soir, sans l'utilisation d'agents extérieurs, on peut être des zombies toute la journée, puis se libérer le soir pour se suicider. Hier j'ai vu un mal pour le bien, aujourd'hui je suis très conscient de l'ennemi qu'ils ont déjà dessiné, de ce que les ruines vivent pour voler leur essence. Un bien n'a jamais rien volé est une explication de ce que vous emportez avec vous, à l'intérieur vous vous retrouvez, je pense que c'est complet après la fin du monde, le paradis. Un mal est juste devant nous, toute la journée nous faisant devenir un beau zombie, un humain sans mouvement, à la fois physique et