Das letzte Buch der Bibel, die Offenbarung des Johannes (im Englischen auch «Apocalypse»), prophezeit das Ende aller Zeiten und schildert die Ereignisse, die das Weltende markieren werden. Während des Mittelalters wurde das Motiv des Weltuntergangs zu einem zentralen Thema in der Kunst und gleichzeitig ein Schreckgespenst des Volkes, das unter dem Einfluss religiöser Autorität in tiefer Angst vor einem zornigen Gott lebte. Glücklicherweise hielt dies die Künstler der Apokalypse nicht davon ab, ihrer Fantasie freien Lauf zu lassen und den stark symbolischen Charakter des Offenbarungstexts auf vielfältigste Art und Weise zu deuten und in den verschiedensten Werkstoffen umzusetzen. Dieses Buch bringt einige der berühmtesten Offenbarungsdarstellungen zusammen, von den Wandteppichen der Angers-Apokalypse bis hin zu den eigenwilligen Illustrationen endzeitlicher Visionen eines William Blake. Begleitet wird diese Visualisierung der Apokalypse von einem nuancierten Text zu den zahlreichen falsch datierten und nie gekommenen Weltuntergängen der Menschheitsgeschichte.
Félix Vallotton, né à Lausanne le 28 décembre 1865 et mort à Paris le 29 décembre 1925, est un artiste peintre, sculpteur et graveur sur bois Suisse, naturalisé Français en 1900. En une dizaine d’années, Vallotton parvient à se faire un nom auprès de l'avant-garde parisienne. Sa renommée devient internationale grâce à ses gravures sur bois et à ses illustrations en noir et blanc qui font sensation. Il expose régulièrement à Paris, et dans le reste de l’Europe. Il épouse en secondes noces Gabrielle Rodrigues-Henrique, filles et sœur des Bernheim-Jeune, marchands d'art parisiens réputés. Il parvient à s'imposer en bénéficiant de l'aide efficace de son frère Paul, qui dirige à Lausanne la succursale de la galerie Bernheim-Jeune. Vallotton est un formidable peintre, de la femme et en particulier ; ses nus sont aussi sensuels que ceux d’Amedeo Modigliani. Il a été inhumé au cimetière du Montparnasse en 1925.
Inspiré dès son jeune âge par le travail de Monet, Paul Signac (1863-1935) était l’ami et le disciple de Georges Seurat qui a mélangé la précision scientifique du pointillisme aux couleurs vivantes et à l’émotion de l’impressionnisme. Ce livre examine la complexité de la technique reconnue de Signac, et présente les détails de certaines de ses peintures les plus célèbres.
Lacan, dernier propriétaire de L’Origine du monde de Courbet, aimait le tableau si fort qu’il ne pouvait le regarder. Alors il le cacha derrière un tableau anodin. Les Chinois l’appelaient la « vallée des roses » (attention aux épines !), les Perses « la source du miel » (attention aux abeilles !), les Grecs « le mont de Vénus » (attention à l’escalade !). À chaque époque ses fantasmes et son explication du mystère de la femme. Il nous reste le témoignage des poètes, des peintres et même de quelques psychiatres célèbres. L’Origine du monde, un ouvrage à mettre seulement entre les mains des amoureux du mystère.
À partir de la création de son premier atelier à l’âge de seize ans, sir Anthony van Dyck (1599-1641) devint célèbre dans le monde de l’art. Rubens, son professeur lorsqu’il était enfant, disait de lui qu’il était son élève le plus talentueux. Il confirma cette remarque par une carrière d’artiste de cour en Angleterre et en Espagne. De nos jours, il est reconnu comme peintre de portraits, capturant l’élégance et la beauté opulente de la vie des cours européennes au XVIIe siècle. Dans cette présentation fascinante de la longue carrière de Van Dyck, Natalia Gritsai met en relief le meilleur des chefs-d’œuvre de l’artiste.
Condamné par les Nazis comme étant un artiste « dégénéré », Franz Marc (1880-1916) est un peintre allemand dont l’utilisation des lignes sèches et de la couleur exprime de manière éloquente la douleur et le traumatisme de la guerre. Dans des toiles telles que La Mort des animaux, Marc a créé l’émotion brute d’une violence primitive, qu’il a qualifiée de prémonition de la guerre, guerre qui allait être la cause de sa mort à l’âge de trente-six ans.
Si, selon l’expression connue, vous êtes ce que vous mangez, alors Giuseppe Arcimboldo (1527-1593) fut le peintre parfait de l’âme humaine. Cet artiste était un dessinateur de talent. Dans cet ouvrage fascinant, Liana de Girolami Cheney se penche sur la critique historique du travail d’Arcimboldo, à partir des débuts de son succès et de l’obscurité tragique qui entoure sa mort, jusqu’à la redécouverte de son travail, en particulier par les surréalistes des années 1920.
Auguste Macke (1887-1914) est un maître de l’expressionnisme allemand, un mouvement qui s’est développé au début des années 1900. Les expressionnistes voulaient utiliser l’art pour dépeindre les émotions davantage que les choses matérielles et la réalité, en insistant particulièrement sur les idées noires, la tragédie et l’« Angst », l’angoisse. Macke maîtrisait les formes et les couleurs, produisant des toiles captivantes qui provoquent encore de nos jours un sentiment de sympathie chez le spectateur. Il était aussi à l’aise en dépeignant les rues ensoleillées de Tunisie, que le ciel nuageux autour de la cathédrale de Bonn et la foule sans visage d’une gare pleine de monde. Dans ce texte complet, Walter Cohen se penche sur la courte vie d’un artiste dont le potentiel sans limites a tragiquement été stoppé par sa mort prématurée.
Connu pour la subtilité de ses toiles pointillistes, Georges Seurat (1859-1891) était un peintre unifiant l’art et la science, qui obtenait des résultats exceptionnels. Il pouvait prendre des années pour terminer ses peintures qui impressionnaient alors le spectateur par leur complexité scientifique et leur impact visuel. Klaus H. Carl offre aux lecteurs un aperçu fascinant de la technique scientifique se cachant derrière les chefs-d’œuvre pointillistes de Seurat.
Félix Vallotton, né à Lausanne le 28 décembre 1865 et mort à Paris le 29 décembre 1925, est un artiste peintre, sculpteur et graveur sur bois Suisse, naturalisé Français en 1900. En une dizaine d’années, Vallotton parvient à se faire un nom auprès de l'avant-garde parisienne. Sa renommée devient internationale grâce à ses gravures sur bois et à ses illustrations en noir et blanc qui font sensation. Il expose régulièrement à Paris, et dans le reste de l’Europe. Il épouse en secondes noces Gabrielle Rodrigues-Henrique, filles et sœur des Bernheim-Jeune, marchands d'art parisiens réputés. Il parvient à s'imposer en bénéficiant de l'aide efficace de son frère Paul, qui dirige à Lausanne la succursale de la galerie Bernheim-Jeune. Vallotton est un formidable peintre, de la femme et en particulier ; ses nus sont aussi sensuels que ceux d’Amedeo Modigliani. Il a été inhumé au cimetière du Montparnasse en 1925.