Название | Histoire des Musulmans d'Espagne, t. 3 |
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Автор произведения | Dozy Reinhart Pieter Anne |
Жанр | Зарубежная классика |
Серия | |
Издательство | Зарубежная классика |
Год выпуска | 0 |
isbn |
26
Voyez mes Recherches, t. I, p. 126 et suiv.
27
Chez Ahmed ibn-abî-Yacoub, qui écrivait vers l’année 890, Mérida (sur le Guadiana) est une ville frontière. Voyez de Goeje, Specimen liter. exhibens descriptionem al-Magribi, p. 16, l. 1-3 du texte arabe.
28
Voir Mon. Sil., c. 42 à la fin, et Chron. Conimbr. II.
29
Chron. Albeld., c. 64. L’expression: castra de Nepza, dont se sert ce chroniqueur, signifie les châteaux de la tribu berbère de Nefza, laquelle habitait entre Truxillo et le Guadiana; voyez Ibn-Haiyân, fol. 99 r., et 101 v.
30
Ibn-Haiyân, fol. 99 r.
31
Voyez Ibn-Haiyân, fol. 83 r., et comparez la description de Zamora que donne Masoudî (dans mes Recherches, t. I, p. 181).
32
Ibn-Haiyân, fol. 98 v. -102 v.; Sampiro, c. 14.
33
Charte chez Sota, Escr. 1; autre charte (de l’année 993) dans l’Esp. sagr., t. XIX, p. 383.
34
Charte chez Berganza, t. I, p. 197, col. 2, l. 6.
35
Mon. Sil., c. 44, 45; Ibn-Khaldoun, fol. 14 v. J’ai suivi ce dernier auteur pour ce qui concerne la date.
36
Arîb, t. II, p. 176; Ibn-Khaldoun, fol. 14 v.
37
Voyez Arîb, t. II, p. 186, l. 3 et 4.
38
Arîb, t. II, p. 177, 178; Sampiro, c. 17; Mon. Sil., c. 46, 47.
39
Nécour était une ville du Rîf marocain, à cinq lieues de la mer.
40
Voyez mes Recherches, t. II, p. 285, 293, 294.
1
Djowainî, traduction de M. Defrémery, dans le
2
Chwolsohn,
3
Comparez le passage du
4
Weil, t. II, p. 107.
5
Macrîzî, dans le
6
Djowainî, dans le
7
De Sacy,
8
9
De Sacy, p. CXII, CLIII-CLVI.
10
De Sacy, p. CLXII.
11
12
13
Le calife Moïzz, interrogé sur les preuves de la parenté qui l’unissait au gendre du Prophète, répondit fièrement, en tirant à moitié son épée du fourreau: «Voilà ma généalogie!» Puis, répandant à pleines mains les pièces d’or sur les assistants, il ajouta: «Voilà mes preuves!» Tous protestèrent que cette démonstration leur paraissait incontestable.
14
Obaidallâh faisait maudire, dans les prières publiques, tous les compagnons de Mahomet, à l’exception d’Alî et de quatre autres.
15
16
Man. de Leyde, p. 39.
17
18
Çâid de Tolède, fol. 246 r.
19
Voyez Homaidî, fol. 47 r. et v. J’ai donné une traduction de ce passage dans le
20
Maccarî, t. I, p. 136.
21
Voyez sur Ibn-Masarra (883-931) le
22
Abdérame III, comme nous le raconterons plus loin, fit décapiter un prince de sa famille à cause de ses opinions chiites.
23
Moralès, qui écrivait sa
24
Maccarî, t. II, p. 9, 10, 671, 672.
25
Les chroniqueurs espagnols, qui ont fort exagéré l’importance des succès remportés par Pélage, prétendent aussi que Monousa fut tué pendant sa retraite. Il est certain au contraire que ce général survécut plusieurs années à sa déroute et qu’il mourut en Cerdagne. Voyez Isidore, c. 58, et comparez Ibn-Adhârî, t. II, p. 27, l. 15.
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Voyez mes
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Chez Ahmed ibn-abî-Yacoub, qui écrivait vers l’année 890, Mérida (sur le Guadiana) est une ville frontière. Voyez de Goeje,
28
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Ibn-Haiyân, fol. 99 r.
31
Voyez Ibn-Haiyân, fol. 83 r., et comparez la description de Zamora que donne Masoudî (dans mes
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Ibn-Haiyân, fol. 98 v. -102 v.; Sampiro, c. 14.
33
Charte chez Sota, Escr. 1; autre charte (de l’année 993) dans l’
34
Charte chez Berganza, t. I, p. 197, col. 2, l. 6.
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Mon.