Название | Œuvres complètes de lord Byron, Tome 3 |
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Автор произведения | George Gordon Byron |
Жанр | Зарубежные стихи |
Серия | |
Издательство | Зарубежные стихи |
Год выпуска | 0 |
isbn | http://www.gutenberg.org/ebooks/27144 |
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Fam 1 Il n'est question dans cette Préface que des deux premiers chants. ( 2 La supposition que Lord Byron s'efforce de repousser ici, est d'être lui-même le héros du poème, sous le nom fictif de ( 3 Beattie's letters. – Beattie est loin, dans son ( 4 Les mots soulignés sont en français dans l'original. ( 5 ( 6 Le petit village de Castri occupe, en partie l'ancienne situation de Delphes. On trouve le long de la montagne, en revenant de Chryssa, les restes de sépulcres creusés dans le roc, ou construits avec des blocs de rochers. «Un de ces tombeaux, me dit mon guide, est celui d'un roi qui se cassa le cou en chassant.» Sa Majesté avait certainement choisi le lieu le plus convenable pour une telle mort. Un peu au-dessus de Castri, il y a un antre que l'on suppose être celui de la Pythie; il est d'une immense profondeur. Sa partie supérieure est pavée, et sert maintenant d'écurie. Sur l'autre côté de Castri, est bâti un monastère grec; quelques pas au-dessus duquel on voit une ouverture dans le rocher, avec un rang de cavernes d'un accès difficile, qui paraissent conduire dans l'intérieur de la montagne, probablement jusqu'à la caverne Corycienne mentionnée par Pausanias. C'est de cet endroit que descend la fontaine ou les «sources de Castalie.» 7 8 Le couvent de 9 C'est un fait bien connu que, dans l'année 1809, des assassinats commis par les Portugais dans les rues de Lisbonne et dans les environs n'étaient pas seulement bornés à leurs concitoyens: des Anglais étaient journellement égorgés, et, au lieu de pouvoir obtenir la répression de ces délits, il nous fut recommandé de ne point intervenir dans les rixes de nos compatriotes avec leurs alliés. Je fus attaqué une fois dans la rue en allant au théâtre, à huit heures du soir, heure à laquelle les rues sont ordinairement plus remplies de monde qu'à toute autre heure de la journée; c'était devant une boutique ouverte, et j'étais en voiture avec un ami: si malheureusement nous n'avions pas été armés, nous aurions, sans aucun doute, fourni une anecdote, au lieu de la raconter nous-mêmes. Le crime de l'assassinat ne se borne pas au Portugal: en Sicile et à Malte, on nous assomme, nous autres Anglais, pendant la nuit; et on ne voit jamais punir un Sicilien ou un Maltais. 10 La convention de Cintra fut signée dans le palais du marquis de Marialva. Les derniers exploits de lord Wellington ont effacé les folies de Cintra. Il a fait des merveilles: il a peut-être changé le caractère d'une nation, réconcilié des superstitions rivales, et battu un ennemi qui n'avait jamais reculé devant ses prédécesseurs. 11 L'étendue de Mafra est prodigieuse; il contient un palais, un couvent et une superbe église. Les six orgues sont les plus belles que j'aie jamais vues pour la décoration. Nous ne les entendîmes point; mais on nous dit que leurs sons répondaient à leur splendeur. On nomme Mafra l'Escurial du Portugal. 12 Comme j'ai trouvé les Portugais, je les ai caractérisés. Qu'ils aient gagné depuis, au moins en courage, cela est évident. 13 La fille du comte Julien, l'Hélène de l'Espagne. Pélage conserva son indépendance dans les gorges des Asturies, et les descendans de ses compagnons, quelques siècles après, complétèrent leurs succès par la conquête de la Grenade. 14 15 «Viva el rey Fernando!» Vive le roi Ferdinand! c'est le refrain de la plupart des chansons patriotiques des Espagnols; elles sont principalement dirigées contre le vieux roi Charles, la reine et le prince de la Paix. J'en ai entendu plusieurs d'entre elles; quelques-uns des airs sont fort beaux. Godoy, 16 La cocarde rouge avec le nom de Ferdinand au milieu. 17 Tous ceux qui ont vu une batterie se rappelleront la forme pyramidale dans laquelle sont entassés les bombes et les boulets. La Sierra Morena était fortifiée dans tous les défilés par où je passai pour aller à Séville. 18 Tels furent les exploits de la fille de Saragosse. Quand l'auteur était à Séville, elle se promenait journellement au Prado, portant les décorations et les médailles que la junte lui avait données. 19 (Aul. Gell.) 20 Ces stances furent écrites à Castri (Delphes), au pied du Parnasse, appelé maintenant Λιαχυρα, Liakura. 21 Séville était l' 22 Ceci fut écrit à Thèbes, et par conséquent dans la meilleure situation possible pour demander une réponse à cette question, non pas comme la patrie de Pindare, mais comme la capitale de la Béotie, où la première énigme fut proposée et résolue. 23 Fête de la corne emblématique, redoutée des maris. 24 Titres que prennent les nobles en Espagne. 25 26 27 Allusion à la conduite et à la mort de Solano, gouverneur de Cadix. 28 «La guerre au couteau!» réponse de Palafox à un général français au siége de Saragosse. 29 L'honorable J. W., officier aux gardes, qui mourut de la fièvre à Coïmbre. Je l'ai connu dix ans, la meilleure partie de sa vie, et la plus heureuse de la mienne. Dans le court espace d'un mois, j'ai perdu celle qui m'avait donné l'existence, et la plupart de ceux qui me l'avaient rendue tolérable. Les vers suivans de Yung ne sont point pour moi une fiction. Insatiable archer! Un ne te suffisait-il pas? Ta flèche part trois fois, et trois fois me perce le cœur; trois fois, avant que la lune eût rempli trois fois son croissant. J'aurais dû consacrer quelques vers à la mémoire de Charles Skinner Matthews, agrégé du collége Downig à Cambridge, s'il n'avait pas été
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Depuis la publication de ce poème, j'ai été instruit de la mauvaise interprétation que j'avais donnée au mot