Название | 20 Histoires de Sexe |
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Автор произведения | Gloria Hole |
Жанр | Языкознание |
Серия | Sexe et désir |
Издательство | Языкознание |
Год выпуска | 0 |
isbn | 9783742784933 |
J’avais 23 ans et tout était encore à découvrir, à explorer.
Il s’appelait Jérémy. Je l’ai rencontré lors d’une formation pour mon nouveau boulot. Des petites attentions régulières, il a joué le jeu de celui qui s’intéresse à moi, pas pour mon cul, mais pour la personne toute entière.
Indifférente au début – mon image de la gente masculine étant au plus bas - , je me suis petit-à-petit laissée séduire par cet homme qui savait être charmeur sans être vulgaire, qui savait me faire rire, qui avait fait remonter en moi les rêves d’ados, en y ajoutant des fantasmes de femme. Son cul, son sourire, ses épaules musclées, son piercing à la langue… Protecteur et séducteur, sensuel et sexy.
On se voyait de plus en plus souvent, grâce à un autre collègue, son ami, qui lui aussi avait des vues sur moi. Tous les prétextes étaient bons pour qu’on se retrouve le soir : boulot, repas, films…
Ce soir là, nous avions décidé de sortir en ville. Nous habitions à Lyon, c’était la fête des lumières. Nous avons rejoins un groupe d’amis avec lesquels nous avons bu quelques verres, puis nous sommes partis profiter du spectacle. Le froid et la foule nous tenaient tous serrés, un groupe compact, qui ne m’empêcha pas de distinguer la main de Jérémy des autres, se glissant une fois autour de ma taille, une fois sur mon épaule. J’étais connue pour m’esquiver au moindre contact, mais cette fois, je décidai de ne pas réagir : je laissai cette main tenter sa chance.
Nous nous sommes arrêtés prendre un vin chaud, fumer une cigarette, puis retourner vers une autre place sur laquelle il y avait des lumières. La foule était plus abondante, je sentis Jérémy me prendre plus franchement par la taille, comme pour me guider, pour ne pas me perdre. Un échange de regards, je lui fis comprendre qu’il ne me gênait pas. Il s’enhardit et passa alors sa main sous ma veste. Nous étions à l’arrière de la troupe d’amis, personne n’allait nous voir, je l’enlaçais à mon tour et pris confiance.
Puis je le sentis plus ferme. Sa main ne me tenait plus : elle me caressait. La taille, puis ses mouvement se firent plus grands, ils m’exploraient, de la hanche jusqu’à la base de ma poitrine, puis redescendaient découvrir mes fesses. Nous avions pris un peu de distance avec le groupe, Jérémy ne semblait plus du tout attentif au spectacle : sa main s’était glissée sous mes vêtements, il m’avait rapprochée de lui, je la sentais jouer avec mon soutien gorge qu’il ne tarda pas à dégrafer. C’était un soutien gorge avec les bretelles amovibles, il le compris vite et me l’enleva complètement.
Rémy, son ami qui avait des vues sur moi, s’est rendu compte que nous étions restés derrière : le groupe nous rejoignait. Jérémy les vit arriver et, tranquillement, avec son plus bel air innocent, il fit une boule avec mon soutien gorge et le rangea dans la poche de son blouson. Nous passâmes le reste de la soirée à nous promener au fil des lumières, avec la bande d’amis. Jérémy me faisait régulièrement passer devant lui, sous prétexte que je verrais mieux. La foule compacte nous autorisait à nous serrer, et je sentais une main qui se glissait tantôt sur mon cul, tantôt entre mes jambes. Jérémy se colla enfin tout entier à moi. Malgré les vêtements, je sentais parfaitement la bosse que ce petit jeu avait formé dans son jean.
Rémy n’avait rien suivi de nos contacts et tentait toujours d’engager des conversations avec moi, de trouver des prétextes pour se rapprocher. Alors qu’il me parlait, je sentis une fois de plus la main de Jérémy sur mes fesses et je me rendis compte que je mouillais comme jamais. Il avait réussi à m’exciter comme jamais personne ne l’avait fait. Je fis alors mine d’être fatiguée, je savais qu’à cette heure-ci, il n’y avait plus de métro et qu’un bon prince venu en voiture allait me ramener. Rémy insista pour que je reste encore un peu, mais au bout de quelques minutes Jérémy se proposa donc de me ramener, « je dois rentrer aussi, je bosse demain ».
Nous nous éloignâmes du reste du groupe et Jérémy me proposa un dernier verre de vin chaud, pour la route jusqu’à la voiture. Dans la queue, je le sentis plus enhardi : enlacés, collés l’un contre l’autre, sa main explorait désormais dans mon jean les trésors qu’elle pouvait y trouver. Une visite sur mon cul, puis il réussit à guider quelques doigts entre mes jambes, à l’entrée de mon vagin trempé. Il joua avec jusqu’à ce qu’arrive notre tour d’être servis.
Jérémy, qui ne m’avait pas dit où était la voiture, me fit faire un détour par une petite place, encore bondée. Ce jeu l’excitait, je le vérifiais régulièrement en me plaçant juste devant lui, mes fesses contre son sexe de plus en plus dressé. Je prétextai des photos a prendre, et m’arrêtai contre lui. Ce jeu m’avait trop excitée, j’étais décidée à en prendre les rênes. D’une main, je prenais les soi-disant photos, de l’autre, j’allais moi aussi me promener sous sa veste. Je dessinai de mes doigts le chemin de sa ceinture, puis fis quelques détours par les cuisses, de plus en plus proche de l’aine, de la braguette. Je suivis le chemin que me donnait son sexe, en fis toute la longueur, puis je dégrafais quelques boutons pour le prendre à pleine main. Je le caressais, puis réussis à le faire glisser du boxer. Je le branlais. La bite de Jérémy était de taille plus que convenable, son gland avait déjà bien perlé, il était trempé dans son boxer. J’alternais des longues caresses et des pressions, ayant peur que des mouvements trop rapides soient vus par les passants. Jérémy s’était appuyé sur mon épaule, pour prendre des photos, mais n’entendais plus depuis longtemps le déclenchement de l’appareil. Il avait laissé place à son souffle, de plus en plus rapide, de plus en plus rauque. Il allait jouir dans ma main, en pleine foule. Cette idée m’excita encore, je collais mon cul à ma main qui n’en finissait pas de caresser sa bite et ses couilles. Un grognement, étouffé par une toux simulée, je sentis Jérémy vibrer dans ma main, il jouit. Il inonda ma main, son jean, de longues giclées qui me paraissaient bouillantes dans le froid ambiant.
Emue et surexcitée, j’attendis quelques minutes puis ôtai ma main, trempée de son sperme. Nous reprîmes notre chemin à la voiture, et lorsqu’il y eut moins de monde autour de nous, je commençai à me lécher la main en le regardant dans les yeux. Il sourit, un clin d’œil, puis jeta un coup d’œil vers mon entrejambe. Nous n’avons pas eu besoin de parler pour se comprendre : j’étais trempée, il le savait. Le geste que je venais de faire l’avait excité à nouveau. Il m’embrassa longuement et je sentis que la bosse revenait, que la soirée ne faisait que commencer.
En m’asseyant à côté de lui dans la voiture, je me rendis compte que mon désir m’avait noué le ventre, j’étais tellement excitée que c’en était presque devenu une douleur.
Je m’imaginai des scénarios dans la voiture, je pouvais le sucer, guider sa main vers moi, pour qu’il me branle, pour qu’il me fasse jouir à mon tour, mais je ne fis rien. J’étais tétanisée par la puissance de cette boule que je ressentais dans mon ventre, mon seul souvenir aujourd’hui est que le trajet était interminable.
Jérémy se gara devant mon immeuble, et cette fois c’est moi qui lui fis un clin d’œil. Il descendit de la voiture avec moi, et me suivit dans les escaliers. Il me serrait par la taille, m’embrassait, nous n’arrivions plus à grimper les marches et tout finit dans un éclat de rire complice.
- « Je te propose un dernier verre ? » lui demandais-je avec un sourire coquin au coin des lèvres.
- « Pourquoi pas ! ». Ses yeux brillaient, il était amusé de me voir trouver un prétexte pour perdre du temps, pour faire monter notre désir, pour ne pas nous sauter sauvagement dessus tout de suite.
Je l’installai sur le canapé du salon, je n’avais allumé qu’une petite lumière de la cuisine américaine. L’ambiance était tamisée, je la renforçait en allumant quelques bougies.
Puis, verre à la main, je le rejoins devant le canapé, m’assis à califourchon sur ses genoux, pris une gorgée de mon verre, et m’approchais de lui pour l’embrasser, le vin en bouche. Jérémy y goûta avec un plaisir non dissimulé, tout en prenant le temps, cette fois, de me caresser. Nous nous sommes déshabillés doucement, en faisant des pauses pour se regarder,