Plus de culotte !. Laetitia Guivarché
Языкознание.
Plus de culotte !
Год выпуска 0
isbn 9783750235168
Автор произведения Laetitia Guivarché
Жанр Языкознание
Издательство Bookwire
Je m'appelle Lena, j'ai 37 ans, je suis mariée depuis 8 ans, j'ai 3 enfants et je reçois souvent des compliments sur mon apparence. Une femme au foyer normale, jusqu'en octobre dernier. Comme chaque jour de travail, j'ai amené ma plus petite à l'école maternelle et je l'ai aidée à changer. Je me suis penché un peu vers elle, les autres enfants se déchaînaient déjà à côté de nous, l'un d'eux a glissé sous ma jupe. J'ai sauté et je l'ai ressortie très rapidement.
À partir de ce moment, je n'étais plus moi. Très vite, j'ai dit au revoir à ma fille et je suis allé à ma station de métro. Sur le chemin de la gare, j'ai remarqué que je regardais le piège à pantalon de chaque homme, ce que je n'avais jamais fait auparavant ! Tout le temps, j'imaginais que l'enfant d'avant avait été un homme étrange. Peu importe qui. Si maintenant un de ces étrangers dans la rue venait à saisir ma jupe, j'aurais immédiatement un orgasme ! «Je suis tout chaud et tout mouillé», me disait-on, "et aucun de ces hommes si toujours excités ne me baise, pour ce que j'en ai à faire, on pourrait me sauter dessus en ce moment même dans la rue et me posséder ! Mais personne ne pouvait lire dans mes pensées. Finalement, j'étais dans la gare et j'ai pu m'asseoir.
Je me frottais les cuisses et je regardais entre les jambes de chaque homme qui passait. J'avais de plus en plus chaud, et ma culotte était déjà mouillée. Maintenant, mon train est arrivé. Je me suis assis à côté et j'étais heureux qu'il n'y ait presque plus personne dans le compartiment à part moi.
À partir de ce moment, je n'étais plus moi. Très vite, j'ai dit au revoir à ma fille et je suis allé à ma station de métro. Sur le chemin de la gare, j'ai remarqué que je regardais le piège à pantalon de chaque homme, ce que je n'avais jamais fait auparavant ! Tout le temps, j'imaginais que l'enfant d'avant avait été un homme étrange. Peu importe qui. Si maintenant un de ces étrangers dans la rue venait à saisir ma jupe, j'aurais immédiatement un orgasme ! «Je suis tout chaud et tout mouillé», me disait-on, "et aucun de ces hommes si toujours excités ne me baise, pour ce que j'en ai à faire, on pourrait me sauter dessus en ce moment même dans la rue et me posséder ! Mais personne ne pouvait lire dans mes pensées. Finalement, j'étais dans la gare et j'ai pu m'asseoir.
Je me frottais les cuisses et je regardais entre les jambes de chaque homme qui passait. J'avais de plus en plus chaud, et ma culotte était déjà mouillée. Maintenant, mon train est arrivé. Je me suis assis à côté et j'étais heureux qu'il n'y ait presque plus personne dans le compartiment à part moi.