Donald Wigal

Список книг автора Donald Wigal


    Klee

    Donald Wigal

    Paul Klee gehört zu den Künstlern, die sich nur schwerlich einer bestimmten kunstgeschichtlichen Bewegung zuordnen lassen. In engem Kontakt mit Wassily Kandinsky und Franz Marc gehörte er wie diese der expressionistischen Künstlergruppe Der Blaue Reiter an. Später knüpfte er Verbindungen zum Bauhaus und unterrichtete sogar Malerei an der Dessauer Schule. Seiner Ansicht nach ging es bei der Kunst keineswegs um die Produktion, sondern vielmehr darum, die Dinge äußerst sichtbar werden zu lassen. In seinen Gemälden vereinte Klee geschickt die zu Beginn des 20. Jahrhunderts vorherrschenden Tendenzen. Er führte kubistische und orphistische Elemente in den deutschen Expressionismus ein und verlieh seinen eigenen Werken eine surrealistische und melancholische Poesie. Der Autor führt uns hier die Wunder der Klee’schen Welt vor Augen, in der jeder Pinselstrich die Macht der Farben bestätigt.

    Pollock

    Donald Wigal

    Jackson Pollock(Cody, Wyoming, 1912 – New York, 1956) Pollock fut le représentant le plus important et le plus influent de l’expressionnisme abstrait. Il avait étudié auprès du régionaliste Thomas Hart Benton, et était également marié au peintre abstrait Lee Krasner (étudiante de Hans Hofmann). Il comptait parmi ses collègues Aschile Gorky, Willem de Kooning, Franz Kline, Robert Motherwell, et d’autres issus de l’école dite de New York. En 1947, il développa l’action painting ou, en termes moins précis, le dripping. Il s’intéressait à un processus de création et d’expression du moment, impliquant le moins de références possibles à la réalité visuelle. Abandonnant les pinceaux, le chevalet et la palette, il contrôlait lui-même les quantités de peinture qu’il faisait couler ou projetait sur une toile généralement très grande qu’il avait l’habitude d’étaler sur le sol. Bien que son obsession première fût l’expression de sa propre vie intérieure (subconscient) à travers son art, sa vie émotionnelle était sans conteste très instable, son approche du processus créatif et la plupart de ses oeuvres bouleversèrent de façon définitive l’évolution de l’art en Amérique.

    Pollock

    Donald Wigal

    Jackson Pollock (Cody, Wyoming, 1912 – New York, 1956) Pollock fut le représentant le plus important et le plus influent de l’expressionnisme abstrait. Il avait étudié auprès du régionaliste Thomas Hart Benton, et était également marié au peintre abstrait Lee Krasner (étudiante de Hans Hofmann). Il comptait parmi ses collègues Aschile Gorky, Willem de Kooning, Franz Kline, Robert Motherwell, et d’autres issus de l’école dite de New York. En 1947, il développa l’action painting ou, en termes moins précis, le dripping. Il s’intéressait à un processus de création et d’expression du moment, impliquant le moins de références possibles à la réalité visuelle. Abandonnant les pinceaux, le chevalet et la palette, il contrôlait lui-même les quantités de peinture qu’il faisait couler ou projetait sur une toile généralement très grande qu’il avait l’habitude d’étaler sur le sol. Bien que son obsession première fût l’expression de sa propre vie intérieure (subconscient) à travers son art, sa vie émotionnelle était sans conteste très instable, son approche du processus créatif et la plupart de ses oeuvres bouleversèrent de façon définitive l’évolution de l’art en Amérique.

    Klee

    Donald Wigal

    Paul Klee (Munchenbuchsee, 1879 – Muralto, 1940) La réputation de Klee était celle d’un artiste introverti et rêveur. C’est une image qu’il cultivait en partie lui-même. En 1911, Klee fut présenté à August Macke. Peu après, il rencontra Marc et Kandinsky. Ils l’accueillirent dans le groupe exposant sous le nom de Blaue Reiter et il contribua à leur almanach. En avril 1912, Klee se rendit à Paris et fut profondément impressionné par «l’Orphisme » abstrait de Robert Delaunay. L’art de Klee se distingue par sa diversité extraordinaire et son innovation technique. L’une de ses techniques les plus efficaces était en réalité très simple – le transfert à l’huile (le dessin avec une pointe affûtée au verso d’une feuille couverte de peinture à l’huile et couchée sur une autre feuille). Les effets collatéraux du procédé entraînaient l’apparition de taches de couleur dues au hasard. De cette façon, Klee parvint dans plusieurs oeuvres à éhiculer une impression «spectrale ». De nos jours, l’un des plus célèbres tableaux de Klee est Der Goldfisch (Le Poisson rouge) de 1925. Un poisson lumineux brille vivement, en suspension dans un enfer aquatique. Klee fut xtrêmement productif pendant les années du Bauhaus, mais en fin de compte, la prise du pouvoir par les Nationaux-Socialistes le poussa à quitter l’Allemagne avec sa femme pour sa Suisse natale. Les dernières oeuvres de Klee, dans lesquelles dominent les formes simplifiées et archaïques, montrent sa préoccupation pour la mortalité. Klee mourut en 1940, au terme d’une longue maladie.

    Pollock

    Donald Wigal

    Jackson Pollock (Cody, Wyoming, 1912 – New York, 1956) Pollock fut le représentant le plus important et le plus influent de l’expressionnisme abstrait. Il avait étudié auprès du régionaliste Thomas Hart Benton, et était également marié au peintre abstrait Lee Krasner (étudiante de Hans Hofmann). Il comptait parmi ses collègues Aschile Gorky, Willem de Kooning, Franz Kline, Robert Motherwell, et d’autres issus de l’école dite de New York. En 1947, il développa l’action painting ou, en termes moins précis, le dripping. Il s’intéressait à un processus de création et d’expression du moment, impliquant le moins de références possibles à la réalité visuelle. Abandonnant les pinceaux, le chevalet et la palette, il contrôlait lui-même les quantités de peinture qu’il faisait couler ou projetait sur une toile généralement très grande qu’il avait l’habitude d’étaler sur le sol. Bien que son obsession première fût l’expression de sa propre vie intérieure (subconscient) à travers son art, sa vie émotionnelle était sans conteste très instable, son approche du processus créatif et la plupart de ses oeuvres bouleversèrent de façon définitive l’évolution de l’art en Amérique.

    Klee

    Donald Wigal

    Paul Klee (Munchenbuchsee, 1879 – Muralto, 1940) La réputation de Klee était celle d’un artiste introverti et rêveur. C’est une image qu’il cultivait en partie lui-même. En 1911, Klee fut présenté à August Macke. Peu après, il rencontra Marc et Kandinsky. Ils l’accueillirent dans le groupe exposant sous le nom de Blaue Reiter et il contribua à leur almanach. En avril 1912, Klee se rendit à Paris et fut profondément impressionné par «l’Orphisme » abstrait de Robert Delaunay. L’art de Klee se distingue par sa diversité extraordinaire et son innovation technique. L’une de ses techniques les plus efficaces était en réalité très simple – le transfert à l’huile (le dessin avec une pointe affûtée au verso d’une feuille couverte de peinture à l’huile et couchée sur une autre feuille). Les effets collatéraux du procédé entraînaient l’apparition de taches de couleur dues au hasard. De cette façon, Klee parvint dans plusieurs oeuvres à éhiculer une impression «spectrale ». De nos jours, l’un des plus célèbres tableaux de Klee est Der Goldfisch (Le Poisson rouge) de 1925. Un poisson lumineux brille vivement, en suspension dans un enfer aquatique. Klee fut xtrêmement productif pendant les années du Bauhaus, mais en fin de compte, la prise du pouvoir par les Nationaux-Socialistes le poussa à quitter l’Allemagne avec sa femme pour sa Suisse natale. Les dernières oeuvres de Klee, dans lesquelles dominent les formes simplifiées et archaïques, montrent sa préoccupation pour la mortalité. Klee mourut en 1940, au terme d’une longue maladie.

    Klee

    Donald Wigal

    Paul Klee (Munchenbuchsee, 1879 – Muralto, 1940) La réputation de Klee était celle d’un artiste introverti et rêveur. C’est une image qu’il cultivait en partie lui-même. En 1911, Klee fut présenté à August Macke. Peu après, il rencontra Marc et Kandinsky. Ils l’accueillirent dans le groupe exposant sous le nom de Blaue Reiter et il contribua à leur almanach. En avril 1912, Klee se rendit à Paris et fut profondément impressionné par «l’Orphisme » abstrait de Robert Delaunay. L’art de Klee se distingue par sa diversité extraordinaire et son innovation technique. L’une de ses techniques les plus efficaces était en réalité très simple – le transfert à l’huile (le dessin avec une pointe affûtée au verso d’une feuille couverte de peinture à l’huile et couchée sur une autre feuille). Les effets collatéraux du procédé entraînaient l’apparition de taches de couleur dues au hasard. De cette façon, Klee parvint dans plusieurs oeuvres à éhiculer une impression «spectrale ». De nos jours, l’un des plus célèbres tableaux de Klee est Der Goldfisch (Le Poisson rouge) de 1925. Un poisson lumineux brille vivement, en suspension dans un enfer aquatique. Klee fut xtrêmement productif pendant les années du Bauhaus, mais en fin de compte, la prise du pouvoir par les Nationaux-Socialistes le poussa à quitter l’Allemagne avec sa femme pour sa Suisse natale. Les dernières oeuvres de Klee, dans lesquelles dominent les formes simplifiées et archaïques, montrent sa préoccupation pour la mortalité. Klee mourut en 1940, au terme d’une longue maladie.

    Pollock

    Donald Wigal

    Born in 1912, in a small town in Wyoming, Jackson Pollock embodied the American dream as the country found itself confronted with the realities of a modern era replacing the fading nineteenth century. Pollock left home in search of fame and fortune in New York City. Thanks to the Federal Art Project he quickly won acclaim, and after the Second World War became the biggest art celebrity in America. For De Kooning, Pollock was the “icebreaker”. For Max Ernst and Masson, Pollock was a fellow member of the European Surrealist movement. And for Motherwell, Pollock was a legitimate candidate for the status of the Master of the American School. During the many upheavals in his life in Nez York in the 1950s and 60s, Pollock lost his bearings – success had simply come too fast and too easily. It was during this period that he turned to alcohol and disintegrated his marriage to Lee Krasner. His life ended like that of 50s film icon James Dean behind the wheel of his Oldsmobile, after a night of drinking.

    Pollock

    Donald Wigal

    Born in 1912, in a small town in Wyoming, Jackson Pollock embodied the American dream as the country found itself confronted with the realities of a modern era replacing the fading nineteenth century. Pollock left home in search of fame and fortune in New York City. Thanks to the Federal Art Project he quickly won acclaim, and after the Second World War became the biggest art celebrity in America. For De Kooning, Pollock was the “icebreaker”. For Max Ernst and Masson, Pollock was a fellow member of the European Surrealist movement. And for Motherwell, Pollock was a legitimate candidate for the status of the Master of the American School. During the many upheavals in his life in Nez York in the 1950s and 60s, Pollock lost his bearings – success had simply come too fast and too easily. It was during this period that he turned to alcohol and disintegrated his marriage to Lee Krasner. His life ended like that of 50s film icon James Dean behind the wheel of his Oldsmobile, after a night of drinking.

    Sargent

    Donald Wigal

    Sargent was born in Florence, in 1856, the son of cultivated parents. When Sargent entered the school of Carolus-Duran he attained much more than the average pupils. His father was a retired Massachusetts gentleman, having practised medicine in Philadelphia. Sargent’s home life was penetrated with refinement, and outside it were the beautiful influences of Florence, combining the charms of sky and hills with the wonders of art in the galleries and the opportunities of an intellectual and artistic society. Accordingly, when Sargent arrived in Paris, he was not only a skilful draughtsman and painter as a result of his study of the Italian masters, but he also had a refined and cultivated taste, which perhaps had an even greater influence upon his career. Later in Spain, it was chiefly upon the lessons learned from Velázquez that he found his own brilliant method. Sargent belongs to America, but is claimed by others as a citizen of the world, or a cosmopolitan. Sargent, with the exception of a few months at distant intervals, spent his life abroad. The artistic influences which affected him were those of Europe. Yet his Americanism may be detected in his extraordinary facility to absorb impressions, in the individuality he evolved, and in the subtlety and reserve of his methods – qualities that are characteristic of the best American art.